Ainsi, 450 écoles privées de formation professionnelle ont été auditées, au total. Selon le chef de la Division formation privée du ministère de la Formation professionnelle, beaucoup d'éléments liés à la performance dans le déroulement des enseignements-apprentissages ont été visités dans la région de Thiès.
«Nous avons des établissements qui disposent d’autorisation, mais qui ne parviennent pas du tout à performer. Il y a une décision, on leur a donné un délai de six mois pour aller vers un début de performance. Mais, il y a des établissements qui n'ont aucune autorisation et qui sont dans un seuil de performance très bas. On a voulu les accompagner à la fermeture. Donc, il n'y a pas d'apprenants privés ou publics. Tous les apprenants sont des Sénégalais», déclare Momo Niang sur Rfm.
Selon l’inspecteur de spécialité à l'Inspection d'académie, Thiès a obtenu des résultats acceptables. Cependant, il reste beaucoup à faire. «La majorité des établissements a une moyenne supérieure à 60 %, ce qui est dans l'ordre de l'acceptable. Donc, les établissements qui sont au-dessus de 80 % devaient être encadrés pour l'autorisation définitive d'ouverture.
Si nous allons vers une fermeture d'établissement, c'est contre notre gré. Thiès et Dakar regroupent plus de 110 % de l'offre de formation professionnelle privée. Alors, les ressources humaines seront renforcées pour mieux accompagner les établissements», renseigne Ibrahim Diop
«Nous avons des établissements qui disposent d’autorisation, mais qui ne parviennent pas du tout à performer. Il y a une décision, on leur a donné un délai de six mois pour aller vers un début de performance. Mais, il y a des établissements qui n'ont aucune autorisation et qui sont dans un seuil de performance très bas. On a voulu les accompagner à la fermeture. Donc, il n'y a pas d'apprenants privés ou publics. Tous les apprenants sont des Sénégalais», déclare Momo Niang sur Rfm.
Selon l’inspecteur de spécialité à l'Inspection d'académie, Thiès a obtenu des résultats acceptables. Cependant, il reste beaucoup à faire. «La majorité des établissements a une moyenne supérieure à 60 %, ce qui est dans l'ordre de l'acceptable. Donc, les établissements qui sont au-dessus de 80 % devaient être encadrés pour l'autorisation définitive d'ouverture.
Si nous allons vers une fermeture d'établissement, c'est contre notre gré. Thiès et Dakar regroupent plus de 110 % de l'offre de formation professionnelle privée. Alors, les ressources humaines seront renforcées pour mieux accompagner les établissements», renseigne Ibrahim Diop