Les faits gravissimes qui se sont passés avant-hier à Thiès n’existent nulle part ailleurs dans le monde qu’au Sénégal. Un pays où des conducteurs de moto-Jakarta ont saccagé l’hôpital régional de Thiès avant de s’attaquer violemment aux membres du personnel de santé exprimant leur colère après le décès accidentel de leur collègue Babacar Diaw, rapporte LeTemoin.
Après les agressions criminelles des charretiers de Guédiawaye, les émeutes des marchands ambulants de Sandaga, les jarkartamen se distinguent dans le grand banditisme urbain. Une situation déplorable et condamnable que « Le Témoin » quotidien qualifie de véritables forces occultes urbaines. Et si l’Etat laisse pourrir ces actes criminels dans l’impunité, le pire est à venir !
Une chose est constatée, l’histoire retiendra un jour que c’est sous le magistère du président Macky Sall qu’une institution de santé a été attaquée et saccagée par des individus. L’histoire retiendra encore que sous Macky Sall que la belle et mythique ancienne capitale de l’Aof Dakar s’est transformée anarchiquement en… Jakarta. Une marque de moto cyclette fabriquée à « Jakarta » la capitale de l’Indonésie.
Autoproclamés intouchables, les motos-taxis ou taxis-Jakarta ont fini par s’imposer à Dakar jusqu’à créer un drôle de secteur de transport artisanal. Une impunité qui a incité d’autres jeunes moto-taximen de Thiès, Louga, Matam, Kaolack et Fatick à rallier Dakar. Dans les carrefours comme dans les points stratégiques et autres espaces publics (Port, Abris-bus, supermarchés, hôpitaux etc.), sans compter les grands axes routiers bien sûr, les motos-taxis dictent leur loi. Bref, difficile de circuler dans la capitale aujourd’hui sans croiser ou frôler une moto taxi. L’Etat a laissé pourrir le trafic des « Jakarta » et motos-taxis au point qu’ils font désormais partie du paysage dakarois. Une prolifération qui dépasse les forces de l’ordre (policiers et gendarmes).
Pour « Le Témoin » quotidien, une seule et unique mesure peut régler le problème : Prendre une loi ou un décret autorisant le transport d’un seul passager sur une moto ou deux roues.
Après les agressions criminelles des charretiers de Guédiawaye, les émeutes des marchands ambulants de Sandaga, les jarkartamen se distinguent dans le grand banditisme urbain. Une situation déplorable et condamnable que « Le Témoin » quotidien qualifie de véritables forces occultes urbaines. Et si l’Etat laisse pourrir ces actes criminels dans l’impunité, le pire est à venir !
Une chose est constatée, l’histoire retiendra un jour que c’est sous le magistère du président Macky Sall qu’une institution de santé a été attaquée et saccagée par des individus. L’histoire retiendra encore que sous Macky Sall que la belle et mythique ancienne capitale de l’Aof Dakar s’est transformée anarchiquement en… Jakarta. Une marque de moto cyclette fabriquée à « Jakarta » la capitale de l’Indonésie.
Autoproclamés intouchables, les motos-taxis ou taxis-Jakarta ont fini par s’imposer à Dakar jusqu’à créer un drôle de secteur de transport artisanal. Une impunité qui a incité d’autres jeunes moto-taximen de Thiès, Louga, Matam, Kaolack et Fatick à rallier Dakar. Dans les carrefours comme dans les points stratégiques et autres espaces publics (Port, Abris-bus, supermarchés, hôpitaux etc.), sans compter les grands axes routiers bien sûr, les motos-taxis dictent leur loi. Bref, difficile de circuler dans la capitale aujourd’hui sans croiser ou frôler une moto taxi. L’Etat a laissé pourrir le trafic des « Jakarta » et motos-taxis au point qu’ils font désormais partie du paysage dakarois. Une prolifération qui dépasse les forces de l’ordre (policiers et gendarmes).
Pour « Le Témoin » quotidien, une seule et unique mesure peut régler le problème : Prendre une loi ou un décret autorisant le transport d’un seul passager sur une moto ou deux roues.