Le niveau d’exécution budgétaire de l’exercice 2023 est de l’ordre de 80% à la date du 20 octobre de l’année en cours, a révélé samedi devant l’Assemblée nationale le ministre des Finances et du Budget Mouhamadou Moustapha Ba.
“Déjà pour les biens et services, le niveau est d’environ 95%. Pour les transferts courants, il s’établit à 79%, alors que les transferts en capital sont à 91%’’, a précisé M. Ba.
Le ministre a fait cette déclaration dans un document remis à la presse dans le cadre de l’examen du projet de loi initiale 2024.
‘’Ce n’est qu’au niveau du titre 5, relatif aux investissements exécutés par l’État et adossés à des marchés qui nécessitent des procédures relativement longues, où on note un pourcentage d’exécution d’environ 32%’’, a relevé M. Ba.
Il a fait savoir en outre que ‘’le coût d’acquisition des véhicules de l’Assemblée nationale avait été évalué à 2,6 milliards FCFA’’.
À cet effet, a-t-il poursuivi, ‘’1,6 milliard FCFA a été inscrit dans le budget 2023 et le reliquat d’un milliard FCFA en 2024 (…) d’où la baisse du budget de l’Assemblée nationale’’.
Le ministre a également fait état du rapport de la Cour des Comptes sur les Fonds de la Covid-19, soulignant que ‘’les 85 recommandations faites sont en train d’être mises en œuvre’’.
‘’Des correspondances ont été adressées aux départements ministériels concernés pour avoir exactement le niveau d’exécution de ces recommandations’’, a révélé le ministre des Finances et du Budget.
“Dix-huit recommandations portent sur le dispositif de pilotage, de contrôle, 55 recommandations concernant la mobilisation des ressources et les modalités d’exécution des dépenses et 12 recommandations portent sur les mesures fiscales’’, a expliqué Mouhamadou Moustapha Ba.
Devant le parlement, il a indiqué que ‘’le Sénégal a été félicité par les partenaires techniques et financiers sur l’exécution des fonds Force Covid-19’’.
‘’Tous les pays du monde sont allés prendre des cabinets privés pour auditer l’exécution de leurs dépenses et le Sénégal a commandité un audit par le biais de la Cour des Comptes’’, a fait valoir M. Ba.
De même, a-t-il poursuivi, tous les appuis budgétaires qui étaient liés à la “gestion vertueuse de ces fonds ont été reçus par le gouvernement du Sénégal, en tenant compte de la transparence et de l’exécution adéquate du programme de résilience économique et sociale’’.
Aps
“Déjà pour les biens et services, le niveau est d’environ 95%. Pour les transferts courants, il s’établit à 79%, alors que les transferts en capital sont à 91%’’, a précisé M. Ba.
Le ministre a fait cette déclaration dans un document remis à la presse dans le cadre de l’examen du projet de loi initiale 2024.
‘’Ce n’est qu’au niveau du titre 5, relatif aux investissements exécutés par l’État et adossés à des marchés qui nécessitent des procédures relativement longues, où on note un pourcentage d’exécution d’environ 32%’’, a relevé M. Ba.
Il a fait savoir en outre que ‘’le coût d’acquisition des véhicules de l’Assemblée nationale avait été évalué à 2,6 milliards FCFA’’.
À cet effet, a-t-il poursuivi, ‘’1,6 milliard FCFA a été inscrit dans le budget 2023 et le reliquat d’un milliard FCFA en 2024 (…) d’où la baisse du budget de l’Assemblée nationale’’.
Le ministre a également fait état du rapport de la Cour des Comptes sur les Fonds de la Covid-19, soulignant que ‘’les 85 recommandations faites sont en train d’être mises en œuvre’’.
‘’Des correspondances ont été adressées aux départements ministériels concernés pour avoir exactement le niveau d’exécution de ces recommandations’’, a révélé le ministre des Finances et du Budget.
“Dix-huit recommandations portent sur le dispositif de pilotage, de contrôle, 55 recommandations concernant la mobilisation des ressources et les modalités d’exécution des dépenses et 12 recommandations portent sur les mesures fiscales’’, a expliqué Mouhamadou Moustapha Ba.
Devant le parlement, il a indiqué que ‘’le Sénégal a été félicité par les partenaires techniques et financiers sur l’exécution des fonds Force Covid-19’’.
‘’Tous les pays du monde sont allés prendre des cabinets privés pour auditer l’exécution de leurs dépenses et le Sénégal a commandité un audit par le biais de la Cour des Comptes’’, a fait valoir M. Ba.
De même, a-t-il poursuivi, tous les appuis budgétaires qui étaient liés à la “gestion vertueuse de ces fonds ont été reçus par le gouvernement du Sénégal, en tenant compte de la transparence et de l’exécution adéquate du programme de résilience économique et sociale’’.
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