Malgré le rythme de progression de l’endettement, l’évolution du ratio encours de la dette publique sur le PIB, la DPEE révèle dans une étude que le Sénégal maintient, en 2014, un niveau d’endettement soutenable. Cela a été attesté, aussi bien dans l’analyse du Cadre de la Viabilité de la Dette (CVD), du Comité National de la Dette Publique (CNDP) ainsi que dans les travaux conjoints de la Banque mondiale et du Fmi, qui montre que le risque de surendettement du Sénégal reste faible.
En effet, indique le rapport, le CVD classe les pays à revenu faible en se référant à leurs capacités politiques et institutionnelles ainsi que la stratégie de gestion de la dette publique qu’ils adoptent.
D’ailleurs, les résultats de l’analyse du CVD entre 2011 et 2013 ont été satisfaisants pour le Sénégal. Le pays a pu maintenir une bonne stratégie d’endettement qui vise essentiellement à réduire les risques de refinancement par allongement de la maturité de la dette émise sur le marché régional et à donner la priorité à des financements concessionnels pour garder de faibles coûts d'emprunt.
De surcroît, la stabilité macroéconomique du Sénégal lui a permis d’être éligible au programme appuyé par l’Instrument de Soutien de la Politique Economique (ISPE). A la lumière de ces évolutions favorables, le Sénégal a été classé dans la catégorie des pays à fortes capacités politiques et institutionnelles dont le service de la dette extérieure ne doit pas dépasser 25% des exportations et 22% des recettes budgétaires.
En effet, indique le rapport, le CVD classe les pays à revenu faible en se référant à leurs capacités politiques et institutionnelles ainsi que la stratégie de gestion de la dette publique qu’ils adoptent.
D’ailleurs, les résultats de l’analyse du CVD entre 2011 et 2013 ont été satisfaisants pour le Sénégal. Le pays a pu maintenir une bonne stratégie d’endettement qui vise essentiellement à réduire les risques de refinancement par allongement de la maturité de la dette émise sur le marché régional et à donner la priorité à des financements concessionnels pour garder de faibles coûts d'emprunt.
De surcroît, la stabilité macroéconomique du Sénégal lui a permis d’être éligible au programme appuyé par l’Instrument de Soutien de la Politique Economique (ISPE). A la lumière de ces évolutions favorables, le Sénégal a été classé dans la catégorie des pays à fortes capacités politiques et institutionnelles dont le service de la dette extérieure ne doit pas dépasser 25% des exportations et 22% des recettes budgétaires.