Sidi Kaba informe que la balle va revenir au Conseil constitutionnel de dire comment le pays sera dirigé à partir du 2 avril. Et deux situations sont possibles selon le ministre de l’Intérieur : soit le Conseil constitutionnel peut décider que le président de la République va continuer à diriger le pays après le 2 avril jusqu’à l’installation de son successeur, conformément à l’article 36-2. Soit les 7 sages décident qu’il va quitter le pouvoir après le 2 avril.
Dans cette dernière hypothèse, ajoute Sidi Kaba, c’est le président de l’Assemblée nationale qui va diriger le pays jusqu’à l’installation du prochain Président de la République. Et il précise que « tout le processus électoral sera repris, il n’y a plus de droit acquis pour les 19 candidats, car le président de l’Assemblée national doit organiser de nouvelles élections
Dans cette dernière hypothèse, ajoute Sidi Kaba, c’est le président de l’Assemblée nationale qui va diriger le pays jusqu’à l’installation du prochain Président de la République. Et il précise que « tout le processus électoral sera repris, il n’y a plus de droit acquis pour les 19 candidats, car le président de l’Assemblée national doit organiser de nouvelles élections