“Le preneur d’otage a été interpellé”, a précisé le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, ajoutant qu’il “n’y avait pas de blessé”. Il a remercié les agents de la préfecture et la BRI.
La prise d’otage avait commencé vers 15h30 lundi 20 décembre dans une quincaillerie de la rue d’Aligre, près de Bastille, dans l’est de la capitale.
Le forcené, un homme de 56 ans qui s’est présenté sous l’identité d’un ancien magistrat tunisien, a alors retenu deux femmes. Il avait libéré peu avant 22h une des deux otages, avait annoncé la Préfecture de Police sur Twitter.
La prise d’otage avait commencé vers 15h30 lundi 20 décembre dans une quincaillerie de la rue d’Aligre, près de Bastille, dans l’est de la capitale.
Le forcené, un homme de 56 ans qui s’est présenté sous l’identité d’un ancien magistrat tunisien, a alors retenu deux femmes. Il avait libéré peu avant 22h une des deux otages, avait annoncé la Préfecture de Police sur Twitter.
Vu le profil psychiatrique de cet homme, la piste terroriste avait rapidement été écartée lundi 20 décembre par une source policière.
Homme connu des services de police
L’homme est notamment connu des services de police pour avoir harcelé une médecin du quartier à son cabinet médical, selon une seconde source policière.
Après s’être introduit dans la boutique peu avant 15h30, il avait d’abord demandé à “parler au ministre de la Justice”, Eric Dupond-Moretti, selon les deux sources policières.
“A la suite de la prise d’otage dans le XIIe arrondissement, le ministre a évidemment fait savoir aux négociateurs qu’il se tenait à leur disposition”, avait indiqué l’entourage du garde des Sceaux.
L’homme est notamment connu des services de police pour avoir harcelé une médecin du quartier à son cabinet médical, selon une seconde source policière.
Après s’être introduit dans la boutique peu avant 15h30, il avait d’abord demandé à “parler au ministre de la Justice”, Eric Dupond-Moretti, selon les deux sources policières.
“A la suite de la prise d’otage dans le XIIe arrondissement, le ministre a évidemment fait savoir aux négociateurs qu’il se tenait à leur disposition”, avait indiqué l’entourage du garde des Sceaux.