D'aprés Rewmi, Moustapha Boubane dit Mbeuleum et Moussanté Preira semaient le désordre dans le populeux quartier de Grand-Yoff. Ils ont à leur actif, plusieurs condamnations pour détention de drogue et vol. A chaque fois qu’ils recouvraient la liberté, les malfaiteurs renouaient avec leurs vieux démons. Les faits pour lesquels ils ont comparu hier, devant la Chambre criminelle de Dakar, remontent au mois de juillet 2017. Cette nuit-là, la bande qui était composée de quatre malfrats, a attaqué à coups de bâton, de tessons de bouteille et de pierres, d’honnêtes citoyens pour ensuite les déposséder de leurs biens.
Alertés, les éléments du commissariat local font une descente sur les lieux et engagent une course-poursuite avec les agresseurs. Alpagués, les deux mis en cause ont été conduits manu militari au poste de police, où ils vident leur sac délictuel.
Né en 1988, divorcé et père de deux enfants, Moustapha Boubane confie qu’il attaquait en premier leurs victimes, avant que ses acolytes ne viennent l’appuyer. Il détenait par devers lui, le cartable de Seydou Dia, qui contenait un ordinateur portable, un chargeur et un cahier.
Pour sa part, Moussanté Preira balance les noms de leurs deux compères (César et Abdoulaye Sène) qui ont pris la fuite. Marié et père d’un enfant, il désigne son co-accusé comme étant le chef du gang.
Lors de sa déposition, Aliou Souaré qui a subi des blessures au visage, informe qu’il a été délesté de son portable au moment où il rentrait à Yarakh.
Seulement, les accusés ont fait volte-face, après quatre années de détention préventive, soutenant ne pas se connaître.
Le maître des poursuites a requis dix ans de réclusion criminelle. La défense a plaidé l’acquittement au bénéfice du doute. A sa suite, le président de la Chambre a fixé son délibéré au 20 octobre prochain.
Alertés, les éléments du commissariat local font une descente sur les lieux et engagent une course-poursuite avec les agresseurs. Alpagués, les deux mis en cause ont été conduits manu militari au poste de police, où ils vident leur sac délictuel.
Né en 1988, divorcé et père de deux enfants, Moustapha Boubane confie qu’il attaquait en premier leurs victimes, avant que ses acolytes ne viennent l’appuyer. Il détenait par devers lui, le cartable de Seydou Dia, qui contenait un ordinateur portable, un chargeur et un cahier.
Pour sa part, Moussanté Preira balance les noms de leurs deux compères (César et Abdoulaye Sène) qui ont pris la fuite. Marié et père d’un enfant, il désigne son co-accusé comme étant le chef du gang.
Lors de sa déposition, Aliou Souaré qui a subi des blessures au visage, informe qu’il a été délesté de son portable au moment où il rentrait à Yarakh.
Seulement, les accusés ont fait volte-face, après quatre années de détention préventive, soutenant ne pas se connaître.
Le maître des poursuites a requis dix ans de réclusion criminelle. La défense a plaidé l’acquittement au bénéfice du doute. A sa suite, le président de la Chambre a fixé son délibéré au 20 octobre prochain.