Les investigations épidémiologiques ont été menées à partir du 13 Août par une équipe pluridisciplinaire et multisectorielle regroupant les services centraux, régionaux et départementaux des secteurs de la santé, de l’élevage et de l’environnement, avec l’appui des partenaires techniques et financiers. La coordination a été assurée par le Gouverneur de la Région de Saint-Louis.
Diverses mesures de santé publique ont été mises en œuvre dont notamment la recherche active et le suivi des cas contacts humains, l’évaluation épidémiologique et le déparasitage du cheptel (27 prélèvements d’animaux ont été effectués et analysés au laboratoire sans cas positif de maladie), le renforcement de la prévention et du contrôle dans les structures sanitaires, la sensibilisation des communautés sur les mesures barrières contre la maladie, la formation des acteurs communautaires. La surveillance épidémiologique a été renforcée dans toute la région. Une équipe du niveau central se rendra sur le terrain afin de procéder à l’expertise technique de la riposte d’urgence qui a été menée.
Pour rappel, la fièvre hémorragique Crimée-Congo est une affection due à un virus transmis par les tiques. Ces tiques sont hébergées par plusieurs types d’animaux sauvages ou domestiques dont les chèvres, les moutons, les bœufs, les ânes, les chevaux, les zèbres. La maladie est essentiellement animale, mais elle peut être transmise aux êtres humains. Les premiers symptômes se manifestent généralement cinq à sept jours après la contamination sous forme de fièvre, maux de tête, douleurs musculaires, vertiges, nausées, vomissements, diarrhée.
Le diagnostic positif de la maladie se fait au laboratoire. Le traitement repose essentiellement sur la prise en charge des signes. La prévention comporte diverses mesures de lutte contre les piqûres de tiques, lutte contre la transmission de l’animal à l’homme, et lutte contre la transmission interhumaine dans la communauté (hygiène des mains, des literies).
Diverses mesures de santé publique ont été mises en œuvre dont notamment la recherche active et le suivi des cas contacts humains, l’évaluation épidémiologique et le déparasitage du cheptel (27 prélèvements d’animaux ont été effectués et analysés au laboratoire sans cas positif de maladie), le renforcement de la prévention et du contrôle dans les structures sanitaires, la sensibilisation des communautés sur les mesures barrières contre la maladie, la formation des acteurs communautaires. La surveillance épidémiologique a été renforcée dans toute la région. Une équipe du niveau central se rendra sur le terrain afin de procéder à l’expertise technique de la riposte d’urgence qui a été menée.
Pour rappel, la fièvre hémorragique Crimée-Congo est une affection due à un virus transmis par les tiques. Ces tiques sont hébergées par plusieurs types d’animaux sauvages ou domestiques dont les chèvres, les moutons, les bœufs, les ânes, les chevaux, les zèbres. La maladie est essentiellement animale, mais elle peut être transmise aux êtres humains. Les premiers symptômes se manifestent généralement cinq à sept jours après la contamination sous forme de fièvre, maux de tête, douleurs musculaires, vertiges, nausées, vomissements, diarrhée.
Le diagnostic positif de la maladie se fait au laboratoire. Le traitement repose essentiellement sur la prise en charge des signes. La prévention comporte diverses mesures de lutte contre les piqûres de tiques, lutte contre la transmission de l’animal à l’homme, et lutte contre la transmission interhumaine dans la communauté (hygiène des mains, des literies).