A cinq jours de la fête de l’Achoura prévue ce lundi, des commerçants et clients du marché Tilène font état d’une hausse des prix des denrées de première nécessité. En perspective de cette fête communément appelée Tamxarit au Sénégal, la demande explose pour les légumes, la viande ou le poulet.
Ces ingrédients sont destinés à accompagner le couscous sénégalais, le plat de cette fête célébrée le 10e de Mouharram, correspondant au premier mois de l’année dans le calendrier musulman. Ce plat fait souvent à base de mil est très prisé lors de cette fête. Mais cette année, l’inflation notée sur le marché des légumes inquiète les ménages, avec le risque de voir le couscous moins garni que par le passé.
Au milieu des allées et venues des commerçants et clients, le marché s’anime des conversations et des marchandages. Juste à l’entrée, Ndèye Guèye tient un étal de légumes posés sur une table. La trentenaire, elle vend entre autres des oignons, des carottes, des aubergines et des pommes de terre. «Les prix ont augmenté. Les clients se plaignent, mais ce n’est pas de notre faute», se défend-elle. «Les prix varient entre 600 francs et 1700 francs. Par exemple, un kilogramme d’oignon ou de pomme de terre coûte 600 francs. Les carottes sont plus chères actuellement, car on vend le kilogramme à 1700 francs CFA », explique-t-elle à l’APS.
Le commerçant Mamadou Fall déclare que les prix ne sont pas accessibles puisque le sac d’oignon coûte 12 000 francs CFA, celui de la pomme de terre se négociant à 11 000 francs. «Nous achetons les produits à des prix élevés, donc forcément le coût sera élevé pour les clients», justifie-t-il.
Ces ingrédients sont destinés à accompagner le couscous sénégalais, le plat de cette fête célébrée le 10e de Mouharram, correspondant au premier mois de l’année dans le calendrier musulman. Ce plat fait souvent à base de mil est très prisé lors de cette fête. Mais cette année, l’inflation notée sur le marché des légumes inquiète les ménages, avec le risque de voir le couscous moins garni que par le passé.
Au milieu des allées et venues des commerçants et clients, le marché s’anime des conversations et des marchandages. Juste à l’entrée, Ndèye Guèye tient un étal de légumes posés sur une table. La trentenaire, elle vend entre autres des oignons, des carottes, des aubergines et des pommes de terre. «Les prix ont augmenté. Les clients se plaignent, mais ce n’est pas de notre faute», se défend-elle. «Les prix varient entre 600 francs et 1700 francs. Par exemple, un kilogramme d’oignon ou de pomme de terre coûte 600 francs. Les carottes sont plus chères actuellement, car on vend le kilogramme à 1700 francs CFA », explique-t-elle à l’APS.
Le commerçant Mamadou Fall déclare que les prix ne sont pas accessibles puisque le sac d’oignon coûte 12 000 francs CFA, celui de la pomme de terre se négociant à 11 000 francs. «Nous achetons les produits à des prix élevés, donc forcément le coût sera élevé pour les clients», justifie-t-il.