Contrairement à ce qui s'est passé au Niger où le tribunal a déclaré illégale, la fermeture de ces écoles, le tribunal de Casablanca a opposé une fin de non-recevoir au recours déposé par les parents d'élèves des écoles privées affiliées à la confrérie du prédicateur turc Fethullah Gülen. Ils réclamaient la suspension de la mesure de fermeture de ces établissements scolaires, qui entrera en vigueur le 5 février prochain.
Une décision annoncée au début du mois de janvier par le ministère de l'Intérieur. Une note de ce département renseignait en effet que "les investigations sur les établissements du groupe Al Fatih, liés à la confrérie turque de Fetulah Gulen, ont montré qu'ils utilisent le secteur de l'enseignement pour répandre l'idéologie de ce groupe et des idées contraires aux principes du système éducatif et religieux marocain".
Un autre recours a été déposé par les parents d'élèves, qui doit être examiné le 13 février mais les parents demeurent très pessimistes. "On ira jusqu'au bout, on fera même appel, mais nous savons que cela a peu de chances d'aboutir", reconnaït un membre du comité des parents d'élèves.
source: libération
Une décision annoncée au début du mois de janvier par le ministère de l'Intérieur. Une note de ce département renseignait en effet que "les investigations sur les établissements du groupe Al Fatih, liés à la confrérie turque de Fetulah Gulen, ont montré qu'ils utilisent le secteur de l'enseignement pour répandre l'idéologie de ce groupe et des idées contraires aux principes du système éducatif et religieux marocain".
Un autre recours a été déposé par les parents d'élèves, qui doit être examiné le 13 février mais les parents demeurent très pessimistes. "On ira jusqu'au bout, on fera même appel, mais nous savons que cela a peu de chances d'aboutir", reconnaït un membre du comité des parents d'élèves.
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