Elle a provoqué le déballage des acteurs de la Biennale de l’Art africain contemporain appelée Dak’Art à travers la presse du lundi 28 août 2023. “A défaut d’avoir le bilan financier de l’édition 2022, au mois de juin passé, on a été surpris de voir l’appel à candidature pour l’édition 2024. C’est juste inacceptable”, s’indigne le critique d’art, Aliou Ndiaye, dans les colonnes du journal le Quotidien du lundi 28 août 2023.
Ce critique d’art Aliou Ndiaye, agent de l’Etat, fonctionnaire à la Direction du Patrimoine Culturel au Ministère de la Culture et du Patrimoine Historique dirigé par le Pr Aliou Sow, a pris le contre-pied de la décision du Secrétariat général de la Biennale de lancer l’appel à candidature.
Mais, quand ce piètre critique d’art Aliou Ndiaye, fonctionnaire de surcroît, ose défier l’Etat. On se demande dans quel pays sommes-nous ?
Normalement un critique d’art a pour rôle fondamental de s’intéresser sur la qualité esthétique des œuvres d’art, de porter son regard sur les tendances artistiques.
Et non sur l’organisation financière, l’organisation matérielle de l’événement culturel dont il ne maitrise pas les contours.
Mais, quand on mélange torchon et serviette ou Angleterre et pomme de terre. Bonjour les dégâts.
Mais, l’objectif de ce groupe d’acteurs de sabotage de la Biennale s’est révélé par Aliou Ndiaye de la Direction du Patrimoine culturel du Ministère de la Culture et du Patrimoine Historique . Ce même Aliou Ndiaye qui se drape sous le manteau de critique d’art, et pourtant collègue de la Secrétaire générale de la Biennale au Ministère, informe que « l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) a été saisie d’une plainte d’acteurs du secteur des arts, exigeant la lumière sur l’organisation de la Biennale 2022 ».
Quand le groupe de Felwine Sarr, président des Rencontres scientifiques de la Biennale se met en branle, leur plan de saboter la Biennale de 2024 est en marche.
Pis, ce même groupe au sein duquel on retrouve Malick Ndiaye, Directeur artistique de la Biennale incite les artistes à boycotter l’édition de 2024, révèle le médiocre artiste Ousmane Dia du Cap, spécialiste en lobbying malsain.
Cependant, Marième Ba, Secrétaire générale de la Biennale explique, dans le quotidien du 28 août 2023, le budget: “Pour la Biennale, nous avions 2 milliards F CFA dont 1 milliard 450 millions de dotation pour 2 ans.”
Elle ajoute : “Dans le cadre du programme de résilience face au Covid 19, le Secrétariat général de la Biennale a été opératrice pour le secteur des arts. Une partie de notre budget a été consacrée à cela, soit 500 millions F CFA.”.
Néanmoins, durant la dernière édition de 2022, la Secrétaire générale de la Biennale a trop laissé faire ce groupe déstabilisateur de l’Evénement de l’Etat. Le Ministre Abdoulaye Diop n’a vu que du feu.
Actuellement, le ministre Aliou Sow s’est contenté de laisser couler la Biennale sans mesures préventives contre les fossoyeurs de la plus grande manifestation artistique de l’Etat.
Pis, il est question de restructurer l’administration de la Biennale, de changer son statut institutionnel sous Aliou Sow.
Mais, comment on peut déposséder l’Etat de son bébé, de son service sous la tutelle du Ministère en charge de la Culture et le livrer aux soi-disant privés pour mieux gérer la Biennale.
Dommage que des acteurs étatiques contribuent à faire saborder des institutions de l’Etat qui ne demandent qu’â être consolidées.
Le ministre-conseiller en Culture, le philosophe El Hadj Kassé est aussi interpellé pour aider le Chef de l’Etat à éviter le dépeçage de la Biennale créée en 1989 par l’Etat du Sénégal où des acteurs culturels indépendants et privés entièrement responsabilisés dans le Comité d’orientation et d’organisation de la Biennale.
En tout cas, le Parti dénommé le Mouvement Culturel pour le salut du Sénégal ( MCSS Foula ak fayda ) d’obédience culturelle veillera à la préservation de la Biennale et combat les prédateurs et fossoyeurs de la Biennale panafricaine, Dak’Art et leurs souteneurs ou complices.
Le combat culturel continue car l’émergence culturelle est possible et en cours avec le Président Macky Sall dont le bilan culturel est positif.
Ont signé:
Abdoulaye Mamadou GUISSE, Présidetn du Parti Foula ak Fayda MCSS
Et
Idrissa Diop
Vice président du parti politique Fulla Ak Fayda MCSS
Ce critique d’art Aliou Ndiaye, agent de l’Etat, fonctionnaire à la Direction du Patrimoine Culturel au Ministère de la Culture et du Patrimoine Historique dirigé par le Pr Aliou Sow, a pris le contre-pied de la décision du Secrétariat général de la Biennale de lancer l’appel à candidature.
Mais, quand ce piètre critique d’art Aliou Ndiaye, fonctionnaire de surcroît, ose défier l’Etat. On se demande dans quel pays sommes-nous ?
Normalement un critique d’art a pour rôle fondamental de s’intéresser sur la qualité esthétique des œuvres d’art, de porter son regard sur les tendances artistiques.
Et non sur l’organisation financière, l’organisation matérielle de l’événement culturel dont il ne maitrise pas les contours.
Mais, quand on mélange torchon et serviette ou Angleterre et pomme de terre. Bonjour les dégâts.
Mais, l’objectif de ce groupe d’acteurs de sabotage de la Biennale s’est révélé par Aliou Ndiaye de la Direction du Patrimoine culturel du Ministère de la Culture et du Patrimoine Historique . Ce même Aliou Ndiaye qui se drape sous le manteau de critique d’art, et pourtant collègue de la Secrétaire générale de la Biennale au Ministère, informe que « l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) a été saisie d’une plainte d’acteurs du secteur des arts, exigeant la lumière sur l’organisation de la Biennale 2022 ».
Quand le groupe de Felwine Sarr, président des Rencontres scientifiques de la Biennale se met en branle, leur plan de saboter la Biennale de 2024 est en marche.
Pis, ce même groupe au sein duquel on retrouve Malick Ndiaye, Directeur artistique de la Biennale incite les artistes à boycotter l’édition de 2024, révèle le médiocre artiste Ousmane Dia du Cap, spécialiste en lobbying malsain.
Cependant, Marième Ba, Secrétaire générale de la Biennale explique, dans le quotidien du 28 août 2023, le budget: “Pour la Biennale, nous avions 2 milliards F CFA dont 1 milliard 450 millions de dotation pour 2 ans.”
Elle ajoute : “Dans le cadre du programme de résilience face au Covid 19, le Secrétariat général de la Biennale a été opératrice pour le secteur des arts. Une partie de notre budget a été consacrée à cela, soit 500 millions F CFA.”.
Néanmoins, durant la dernière édition de 2022, la Secrétaire générale de la Biennale a trop laissé faire ce groupe déstabilisateur de l’Evénement de l’Etat. Le Ministre Abdoulaye Diop n’a vu que du feu.
Actuellement, le ministre Aliou Sow s’est contenté de laisser couler la Biennale sans mesures préventives contre les fossoyeurs de la plus grande manifestation artistique de l’Etat.
Pis, il est question de restructurer l’administration de la Biennale, de changer son statut institutionnel sous Aliou Sow.
Mais, comment on peut déposséder l’Etat de son bébé, de son service sous la tutelle du Ministère en charge de la Culture et le livrer aux soi-disant privés pour mieux gérer la Biennale.
Dommage que des acteurs étatiques contribuent à faire saborder des institutions de l’Etat qui ne demandent qu’â être consolidées.
Le ministre-conseiller en Culture, le philosophe El Hadj Kassé est aussi interpellé pour aider le Chef de l’Etat à éviter le dépeçage de la Biennale créée en 1989 par l’Etat du Sénégal où des acteurs culturels indépendants et privés entièrement responsabilisés dans le Comité d’orientation et d’organisation de la Biennale.
En tout cas, le Parti dénommé le Mouvement Culturel pour le salut du Sénégal ( MCSS Foula ak fayda ) d’obédience culturelle veillera à la préservation de la Biennale et combat les prédateurs et fossoyeurs de la Biennale panafricaine, Dak’Art et leurs souteneurs ou complices.
Le combat culturel continue car l’émergence culturelle est possible et en cours avec le Président Macky Sall dont le bilan culturel est positif.
Ont signé:
Abdoulaye Mamadou GUISSE, Présidetn du Parti Foula ak Fayda MCSS
Et
Idrissa Diop
Vice président du parti politique Fulla Ak Fayda MCSS