VIPEOPLES.NET : Comprise comme étant une culture, un style de vie à travers lequel une certaine catégorie de personnes nanties s’adonne, la Jet Set s’incarne dans un milieu où l’argent, l’apparence, l’extravagance et la bonne humeur s’affichent d’une manière ostensible.
La vie est très belle, très belle même avec comme toile de fond un spectacle extravagant donnant, ainsi, à plus d’un d’être membre à part entière de la Jet Set. Mais en est-il ainsi pour tous et toujours ?
La réponse à cette question coule de source si l’on est bien un habitué des milieux nupés de la capitale sénégalaise. Ce n’est toujours pas le cas bon nombre de jeunes filles et jeunes hommes qui squattent le jet society pour se faire prendre ou se confondre de la catégorie sociale d’une élite de milliardaires, noceurs, nanties pour passer des soirées arrosées et/ou des vacances de rêves.
En religion, l’on n’hésiterait pas à parler de « faux dévot ». Mais dans le milieu de la Jet Set, on les qualifie plutôt de pyromanes, de bluffeurs pour rentrer dans les bonnes grâces des jeunes et belles demoiselles s’il s’agit d’homme et de filles voleuses de personnalités quant il s’agit de la junte féminine.
Ces bluffeurs aux manières de nabab avec leurs élans de générosité font tout pour entrer dans les soirées privées où l’on dépense en une nuit l’équivalent d’un salaire d’un haut cadre. Parce que, ils aiment jouer sur le faux en ne faisant prévaloir que de leur allure de playboy pour se faire entourer d’un essaim de jolies filles.
Mais à beau fréquenter ce milieu de la Jet Set, cela ne fera pas d’un jet setteur surtout quant les lumières de la fête se sont éteintes, la vrai vie réapparait cruellement devant soi. Et ce avec un lot de difficultés les unes plus extricables que les autres. Ainsi, donc en contrepartie de la tranquillité relative vécue dans les profondeurs de la nuit apparait un pauvre type qui est loin de baigner dans le béluga. Une déche terrible qui frise la pitié…
Ces faux jet setteur n’hésitent à se transformer en mendier ou en laudateur pour les plus heureux le jour, juste pour tromper leur conscience la nuit. La pitance du jour servira à jouer entre tables la nuit dans les restaurant et autres célèbres boites de nuit de la capitale ou de la petite côte. Autant dire que ces bluffeurs ont une vie dorée la nuit qui vire au roman trash le jour en courant derrière les cars rapides et autres taxis clandos.
La vie est très belle, très belle même avec comme toile de fond un spectacle extravagant donnant, ainsi, à plus d’un d’être membre à part entière de la Jet Set. Mais en est-il ainsi pour tous et toujours ?
La réponse à cette question coule de source si l’on est bien un habitué des milieux nupés de la capitale sénégalaise. Ce n’est toujours pas le cas bon nombre de jeunes filles et jeunes hommes qui squattent le jet society pour se faire prendre ou se confondre de la catégorie sociale d’une élite de milliardaires, noceurs, nanties pour passer des soirées arrosées et/ou des vacances de rêves.
En religion, l’on n’hésiterait pas à parler de « faux dévot ». Mais dans le milieu de la Jet Set, on les qualifie plutôt de pyromanes, de bluffeurs pour rentrer dans les bonnes grâces des jeunes et belles demoiselles s’il s’agit d’homme et de filles voleuses de personnalités quant il s’agit de la junte féminine.
Ces bluffeurs aux manières de nabab avec leurs élans de générosité font tout pour entrer dans les soirées privées où l’on dépense en une nuit l’équivalent d’un salaire d’un haut cadre. Parce que, ils aiment jouer sur le faux en ne faisant prévaloir que de leur allure de playboy pour se faire entourer d’un essaim de jolies filles.
Mais à beau fréquenter ce milieu de la Jet Set, cela ne fera pas d’un jet setteur surtout quant les lumières de la fête se sont éteintes, la vrai vie réapparait cruellement devant soi. Et ce avec un lot de difficultés les unes plus extricables que les autres. Ainsi, donc en contrepartie de la tranquillité relative vécue dans les profondeurs de la nuit apparait un pauvre type qui est loin de baigner dans le béluga. Une déche terrible qui frise la pitié…
Ces faux jet setteur n’hésitent à se transformer en mendier ou en laudateur pour les plus heureux le jour, juste pour tromper leur conscience la nuit. La pitance du jour servira à jouer entre tables la nuit dans les restaurant et autres célèbres boites de nuit de la capitale ou de la petite côte. Autant dire que ces bluffeurs ont une vie dorée la nuit qui vire au roman trash le jour en courant derrière les cars rapides et autres taxis clandos.