Pour la sociologue interrogée par Walf Quotidien, il y a une très une grande partie des ruptures conjugales qui échappent juridiction.
«Les mariages se font et défont en dehors de l’état civil et du tribunal. Il est difficile d’avoir de bonnes statistiques des divorces», précise-t-elle.
Avant d’ajouter : «Parce qu’à un moment où la personne est déclarée sans conjoint, à T+1, la personne change de statut en contractant une autre union. C’est pour cela que dis généralement les femmes sénégalaises ne divorcent pas, elles changent d’hommes».
Elle précise par ailleurs que «ce que la polygamie permet aux hommes en se renouvelant avec une autre épouse, le divorce le permet aux femmes».
À l’en croire, le Sénégal est passé du statut de mariage précoce au statut de mariage tardif. Rapporte Vipeoples .