Vingt-trois cas de dengue ont été confirmés dans la commune de Fatick (centre), à la suite de tests effectués sur 487 suspects de la maladie virale, transmise à l’homme par des moustiques, a-t-on appris mercredi du médecin-chef de la région, Mamadou Sarr.
’’Les cas positifs ont bénéficié d’une prise en charge médicale et sont pour l’essentiel tous guéris. Ils sont l’objet d’un suivi rapproché. A ce jour, il n’y a aucun décès’’ causé par la maladie, a assuré M. Sarr.
Il intervenait à une réunion d’évaluation de la surveillance de l’épidémie de dengue à Fatick, en présence des autorités administratives locales, dont le préfet du département, Ndèye Guénard Mbodj.
’’La moyenne d’âge des personnes touchées par la maladie varie entre 20 et 40 ans. Les plupart des personnes touchées sont des femmes’’, a précisé le docteur Sarr.
Selon lui, la maladie signalée à Fatick depuis la mi-septembre est circonscrite à la commune chef-lieu de région.
’’Des prélèvements sanguins effectués chez des personnes résidant dans d’autres communes de la région sont tous négatifs’’, a-t-il insisté, ajoutant que les tests ont été effectués par une équipe de l’Institut Pasteur de Dakar, déployée dans la région de Fatick depuis plus de deux semaines.
Des ’’opérations de saupoudrage’’ ont été menées dans la commune de Fatick, à l’initiative de la mairie, dans le cadre de la mise en œuvre du ’’plan de riposte’’ contre la maladie, selon le médecin-chef.
’’Des actions de sensibilisation des populations sur la nécessité d’assaini’r’ leur cadre de vie "ont été menées avec l’appui des acteurs de la santé, du service régional de l’hygiène, des ‘badjénu-gox’ (auxiliaires de santé, Ndlr), en plus de l’animation d’émissions radiophoniques’’ destinées à sensibiliser les populations et, à les aider à ’’éliminer les gites larvaires’’ pouvant occasionnant la maladie, a poursuivi M. Sarr.
Selon lui, la région médicale de Fatick a constaté un ’’recul’’ de la maladie et la baisse du nombre de cas confirmés.
La dengue est réapparue à Fatick où deux cas positifs ont été diagnostiqués en novembre 2017.
Appelée aussi "grippe tropicale", elle se manifeste par une fièvre élevée, survenue brutale, des douleurs musculaires et articulaires, des maux de tête, des nausées et des vomissements.
APS
’’Les cas positifs ont bénéficié d’une prise en charge médicale et sont pour l’essentiel tous guéris. Ils sont l’objet d’un suivi rapproché. A ce jour, il n’y a aucun décès’’ causé par la maladie, a assuré M. Sarr.
Il intervenait à une réunion d’évaluation de la surveillance de l’épidémie de dengue à Fatick, en présence des autorités administratives locales, dont le préfet du département, Ndèye Guénard Mbodj.
’’La moyenne d’âge des personnes touchées par la maladie varie entre 20 et 40 ans. Les plupart des personnes touchées sont des femmes’’, a précisé le docteur Sarr.
Selon lui, la maladie signalée à Fatick depuis la mi-septembre est circonscrite à la commune chef-lieu de région.
’’Des prélèvements sanguins effectués chez des personnes résidant dans d’autres communes de la région sont tous négatifs’’, a-t-il insisté, ajoutant que les tests ont été effectués par une équipe de l’Institut Pasteur de Dakar, déployée dans la région de Fatick depuis plus de deux semaines.
Des ’’opérations de saupoudrage’’ ont été menées dans la commune de Fatick, à l’initiative de la mairie, dans le cadre de la mise en œuvre du ’’plan de riposte’’ contre la maladie, selon le médecin-chef.
’’Des actions de sensibilisation des populations sur la nécessité d’assaini’r’ leur cadre de vie "ont été menées avec l’appui des acteurs de la santé, du service régional de l’hygiène, des ‘badjénu-gox’ (auxiliaires de santé, Ndlr), en plus de l’animation d’émissions radiophoniques’’ destinées à sensibiliser les populations et, à les aider à ’’éliminer les gites larvaires’’ pouvant occasionnant la maladie, a poursuivi M. Sarr.
Selon lui, la région médicale de Fatick a constaté un ’’recul’’ de la maladie et la baisse du nombre de cas confirmés.
La dengue est réapparue à Fatick où deux cas positifs ont été diagnostiqués en novembre 2017.
Appelée aussi "grippe tropicale", elle se manifeste par une fièvre élevée, survenue brutale, des douleurs musculaires et articulaires, des maux de tête, des nausées et des vomissements.
APS