L’objectif est, selon le maire de la commune Thérèse Faye, de récupérer 300 hectares de terres salinisées et permettre aux populations de cette localité de pratiquer des activités agricoles.
‘’Nous avons réceptionné ces digues anti-sel avec le PAPIL sur un financement de la Banque islamique de développement, à hauteur de 150 millions de francs CFA pour les populations des villages de Sangaré et de Sobème, dans la commune de Diarrère’’, a-t-elle dit.
Elle a rappelé que l’agriculture est l’activité principale dans la commune et signalé "une avancée notoire du sel dans la zone avec presque 40% des terres menacées’’.
‘’Ces digues vont permettre aux populations de valoriser la terre à travers le maraîchage, la pisciculture et la riziculture. Ces activités vont surtout aider les femmes à générer des revenus’’, a souligné Thérèse Faye, également directrice de l’Agence nationale de la case des tout-petits (ANCTP).
Mamadou Camara, chef d’antenne du PAPIL, précise que la digue de Sangaré, d’une longueur de 780 mètres, est conçue pour permettre de "récupérer une superficie de 120 hectares". Longue de 2 km, celle de Sobème permettra elle de "récupérer 160 hectares’’.
‘’Dans l’ensemble, ce sont pratiquement 300 hectares de terres qui seront récupérés durant cette année et l’année prochaine. Ce sont des digues anti-sel qui permettent de freiner l’avancée de la salinité mais aussi de désaliniser des terres qui étaient affectées par le passé’’, a expliqué le chef d’antenne du PAPIL.
‘’C’est dans ce sens qu’on est en train d’accompagner les populations pour la valorisation, pour labourer les parcelles, mettre en place les semences et produire du riz dans le cadre du programme d’autosuffisance en riz du PSE [Plan Sénégal émergent]’’, a-t-il poursuivi. Il a précisé que pour la présente campagne, l’objectif "d’emblaver 3.000 hectares" a été "quelque part même dépassé".
‘’On est en train d’emblaver 50 hectares pour la multiplication de semences de riz, de sorgho et de mil. Donc, voilà l’intérêt de ces ouvrages qui étaient en chantier depuis l’année dernière et qui viennent d’être achevés’’, a-t-il déclaré.
‘’L’ensemble des 17 digues anti-sel dont je vous ai toujours parlé permettent de récupérer plus de 3.000 hectares et viennent s’ajouter aux 3.800 hectares qui étaient récupérés en 2014.
Ce qui fait globalement plus de 6.800 hectares qui sont récupérés dans la région de Fatick, à travers le projet PAPIL qui vient de s’achever’’, a précisé Mamadou Camara.
APS
‘’Nous avons réceptionné ces digues anti-sel avec le PAPIL sur un financement de la Banque islamique de développement, à hauteur de 150 millions de francs CFA pour les populations des villages de Sangaré et de Sobème, dans la commune de Diarrère’’, a-t-elle dit.
Elle a rappelé que l’agriculture est l’activité principale dans la commune et signalé "une avancée notoire du sel dans la zone avec presque 40% des terres menacées’’.
‘’Ces digues vont permettre aux populations de valoriser la terre à travers le maraîchage, la pisciculture et la riziculture. Ces activités vont surtout aider les femmes à générer des revenus’’, a souligné Thérèse Faye, également directrice de l’Agence nationale de la case des tout-petits (ANCTP).
Mamadou Camara, chef d’antenne du PAPIL, précise que la digue de Sangaré, d’une longueur de 780 mètres, est conçue pour permettre de "récupérer une superficie de 120 hectares". Longue de 2 km, celle de Sobème permettra elle de "récupérer 160 hectares’’.
‘’Dans l’ensemble, ce sont pratiquement 300 hectares de terres qui seront récupérés durant cette année et l’année prochaine. Ce sont des digues anti-sel qui permettent de freiner l’avancée de la salinité mais aussi de désaliniser des terres qui étaient affectées par le passé’’, a expliqué le chef d’antenne du PAPIL.
‘’C’est dans ce sens qu’on est en train d’accompagner les populations pour la valorisation, pour labourer les parcelles, mettre en place les semences et produire du riz dans le cadre du programme d’autosuffisance en riz du PSE [Plan Sénégal émergent]’’, a-t-il poursuivi. Il a précisé que pour la présente campagne, l’objectif "d’emblaver 3.000 hectares" a été "quelque part même dépassé".
‘’On est en train d’emblaver 50 hectares pour la multiplication de semences de riz, de sorgho et de mil. Donc, voilà l’intérêt de ces ouvrages qui étaient en chantier depuis l’année dernière et qui viennent d’être achevés’’, a-t-il déclaré.
‘’L’ensemble des 17 digues anti-sel dont je vous ai toujours parlé permettent de récupérer plus de 3.000 hectares et viennent s’ajouter aux 3.800 hectares qui étaient récupérés en 2014.
Ce qui fait globalement plus de 6.800 hectares qui sont récupérés dans la région de Fatick, à travers le projet PAPIL qui vient de s’achever’’, a précisé Mamadou Camara.
APS