Le cactus, une espèce végétale appelée en wolof ‘’ Garga Mbossé’ est un bon engrais bio. A l’Université Alioune Diop de Bambey, une équipe de recherche a démontré qu’il est bien possible de produire du biogaz et de l’énergie à partir de cette espèce végétale. « Nous avons travaillé sur la valorisation de cette plante au plan agricole. Beaucoup ne connaissent pas les vertus du cactus. Avec cette espèce, on peut obtenir du biogaz, l’électricité et des résidus issus de production d’énergie est un compost, un engrais bio », renseigne l’ingénieur Malick Sagne.
Dans son allocution, il a été relevé, que la plante ‘’miraculeuse’’ pousse en bordure de mer et dans des sites salés. « Malgré la salinité de l’eau, elle se développe », a affirmé l’ingénieur. Cette recherche se fait dans le cadre d’une collaboration internationale entre les chercheurs. Les résultats de recherche méconnus au Sénégal font l’objet de reportages par les médias étrangers.
Les propriétés de cette plante seront partagées au grand Falling Walls en Allemagne au mois de novembre. « Le Falling Walls Lab est inspiré par la chute du mur de Berlin qui a changé le monde le 9 novembre 1989. Depuis cette date, la question qui est posée à chaque édition est la suite : quels murs tomberont dans les domaines de l’agriculture, la médecine, l’économie, l’ingénierie, les sciences humaines pour faire avancer le monde », a signifié Jo Holden, Directeur pour l’Afrique de l’Ouest de la Fondation Naumann pour la Liberté en fin de mission au Sénégal.
Ainsi, il a insisté sur la place fondamentale de l’entrepreneuriat sur la résolution de l’équation de l’emploi des jeunes dans les pays en voie de développement. « Le terme jeune entrepreneur résonne comme une opportunité de conjuguer énergie, enthousiasme, imagination, savoir, découverte, et de les voir prendre corps, cette force de transformation, elle-même créatrice d’emploi, de services et de valeur. L’Afrique est jeune et nous devons faire le maximum pour autonomiser nos jeunes car ils représentent l’avenir du continent », a indiqué Jo Holden.
Dans son allocution, il a été relevé, que la plante ‘’miraculeuse’’ pousse en bordure de mer et dans des sites salés. « Malgré la salinité de l’eau, elle se développe », a affirmé l’ingénieur. Cette recherche se fait dans le cadre d’une collaboration internationale entre les chercheurs. Les résultats de recherche méconnus au Sénégal font l’objet de reportages par les médias étrangers.
Les propriétés de cette plante seront partagées au grand Falling Walls en Allemagne au mois de novembre. « Le Falling Walls Lab est inspiré par la chute du mur de Berlin qui a changé le monde le 9 novembre 1989. Depuis cette date, la question qui est posée à chaque édition est la suite : quels murs tomberont dans les domaines de l’agriculture, la médecine, l’économie, l’ingénierie, les sciences humaines pour faire avancer le monde », a signifié Jo Holden, Directeur pour l’Afrique de l’Ouest de la Fondation Naumann pour la Liberté en fin de mission au Sénégal.
Ainsi, il a insisté sur la place fondamentale de l’entrepreneuriat sur la résolution de l’équation de l’emploi des jeunes dans les pays en voie de développement. « Le terme jeune entrepreneur résonne comme une opportunité de conjuguer énergie, enthousiasme, imagination, savoir, découverte, et de les voir prendre corps, cette force de transformation, elle-même créatrice d’emploi, de services et de valeur. L’Afrique est jeune et nous devons faire le maximum pour autonomiser nos jeunes car ils représentent l’avenir du continent », a indiqué Jo Holden.