Dans son rapport mondial de suivi de l’Education de 2023, l’Unesco explique que la population non scolarisée en Afrique subsaharienne a augmenté de 12 millions sur la période 2015-2021. Aux termes d’un communiqué conjoint de l’Unesco et de l’Unicef rendu public à l’occasion de la journée internationale de l’éducation, célébré le 24 janvier, « 9 enfants sur dix en Afrique subsaharienne ne peuvent pas lire et comprendre un texte simple à l’âge de 10 ans ».
Pour renverser la tendance, les deux organes onusiens ont réitéré leur engagement à soutenir les gouvernements d’Afrique afin qu’ils assurent l’accès universel à une éducation de qualité pour chaque enfant. Ils confirment l’éducation comme « un droit inhérent et un pilier fondamental pour les sociétés pacifiques et le rôle central de l’éducation dans la promotion d’une gouvernance inclusive, démocratique et participative ».
«Nous félicitons les gouvernements africains d’avoir fait preuve de leadership lors du Sommet sur la transformation de l’éducation en discutant de solutions pour parvenir à une éducation de qualité inclusive et équitable pour tous d’ici 2030 et en réitérant leurs engagements en faveur de l’éducation en tant que droit humain fondamental», expliquent-ils dans le texte, relate Rewmi.
Ainsi, à l’occasion de la journée internationale de l’éducation, consacrée à l’apprentissage pour une paix durable, l’Unicef et l’Unesco s’inquiètent également de la qualité de l’éducation, même pour ceux qui sont scolarisés. Et, malgré les progrès réalisés au cours des dernières décennies, il y a des défis qui persistent dans la réalisation de l’objectif de développement durable (ODD) 4 sur l’éducation du Programme de développement durable à l’horizon 2030, rappelle le texte.
Selon la même source, il est donc important que les gouvernements et les partenaires « maintiennent l’éducation au sommet de l’agenda politique, en soulignant l’importance d’un financement public national équitable ». L’éducation est le meilleur investissement à long terme pour construire des sociétés pacifiques et durables, termine le texte.
Pour renverser la tendance, les deux organes onusiens ont réitéré leur engagement à soutenir les gouvernements d’Afrique afin qu’ils assurent l’accès universel à une éducation de qualité pour chaque enfant. Ils confirment l’éducation comme « un droit inhérent et un pilier fondamental pour les sociétés pacifiques et le rôle central de l’éducation dans la promotion d’une gouvernance inclusive, démocratique et participative ».
«Nous félicitons les gouvernements africains d’avoir fait preuve de leadership lors du Sommet sur la transformation de l’éducation en discutant de solutions pour parvenir à une éducation de qualité inclusive et équitable pour tous d’ici 2030 et en réitérant leurs engagements en faveur de l’éducation en tant que droit humain fondamental», expliquent-ils dans le texte, relate Rewmi.
Ainsi, à l’occasion de la journée internationale de l’éducation, consacrée à l’apprentissage pour une paix durable, l’Unicef et l’Unesco s’inquiètent également de la qualité de l’éducation, même pour ceux qui sont scolarisés. Et, malgré les progrès réalisés au cours des dernières décennies, il y a des défis qui persistent dans la réalisation de l’objectif de développement durable (ODD) 4 sur l’éducation du Programme de développement durable à l’horizon 2030, rappelle le texte.
Selon la même source, il est donc important que les gouvernements et les partenaires « maintiennent l’éducation au sommet de l’agenda politique, en soulignant l’importance d’un financement public national équitable ». L’éducation est le meilleur investissement à long terme pour construire des sociétés pacifiques et durables, termine le texte.