Une modification de l’algorithme
Pour venir à bout de ces remèdes miracles, Facebook va s’attaquer directement à son algorithme. Ainsi, la page d’accueil des utilisateurs sera modifiée pour réduire le nombre de « publications qui font des annonces exagérées et sensationnelles sur le domaine de la santé », selon les responsables de la firme américaine. Youtube a également adopté la même technique et a annoncé, mardi, dans un communiqué officiel que « la désinformation pose un réel problème notamment sur les sujets médicaux ».
La société de Google en a également profité pour annoncer qu’elle allait présenter aux internautes un plus grand accès à des sources réellement sérieuses. Ainsi, elle passera en revue chaque chaine afin de vérifier la véracité de toutes les informations montrées. C’est également un moyen efficace pour faire un tri entre le « vrai » du « faux ». Aux internautes de voir, par la suite, qui croire et qui ne pas croire. Quoi qu’il en soit, YouTube et Facebook feront de leur mieux pour leur simplifier la tâche.
Une réponse à une enquête du Wall Street Journal
Cette décision prise par YouTube et Facebook arrive quelques jours après les révélations du Wall Street Journal, suite à une enquête sur les informations erronées en ligne. Notamment, les articles qui vantent l’usage du bicarbonate de soude pour lutter contre le cancer.
Travis Yeh, un des responsables de Facebook, a précisé que : « Pour aider les gens à recevoir des informations justes sur la santé, il est impératif que nous minimisions ces contenus. Nous allons traiter ce cas de la même manière que nous avons traité les contenus de pauvre qualité, comme les articles putaclic ».
Face à la désinformation, espérons que le remède fera des miracles.
Pour venir à bout de ces remèdes miracles, Facebook va s’attaquer directement à son algorithme. Ainsi, la page d’accueil des utilisateurs sera modifiée pour réduire le nombre de « publications qui font des annonces exagérées et sensationnelles sur le domaine de la santé », selon les responsables de la firme américaine. Youtube a également adopté la même technique et a annoncé, mardi, dans un communiqué officiel que « la désinformation pose un réel problème notamment sur les sujets médicaux ».
La société de Google en a également profité pour annoncer qu’elle allait présenter aux internautes un plus grand accès à des sources réellement sérieuses. Ainsi, elle passera en revue chaque chaine afin de vérifier la véracité de toutes les informations montrées. C’est également un moyen efficace pour faire un tri entre le « vrai » du « faux ». Aux internautes de voir, par la suite, qui croire et qui ne pas croire. Quoi qu’il en soit, YouTube et Facebook feront de leur mieux pour leur simplifier la tâche.
Une réponse à une enquête du Wall Street Journal
Cette décision prise par YouTube et Facebook arrive quelques jours après les révélations du Wall Street Journal, suite à une enquête sur les informations erronées en ligne. Notamment, les articles qui vantent l’usage du bicarbonate de soude pour lutter contre le cancer.
Travis Yeh, un des responsables de Facebook, a précisé que : « Pour aider les gens à recevoir des informations justes sur la santé, il est impératif que nous minimisions ces contenus. Nous allons traiter ce cas de la même manière que nous avons traité les contenus de pauvre qualité, comme les articles putaclic ».
Face à la désinformation, espérons que le remède fera des miracles.