En effet, les dépenses totales et prêts nets, ils se sont confortés de 19% (+342 milliards), pour s’établir à 2144,7 milliards. Au total, le déficit budgétaire, dons compris, est estimé à 363,3 milliards pour un plafond annuel fixé à 372,4 milliards.
S’agissant des dépenses et prêts nets, la progression observée (+19%) est imputable aussi bien aux dépenses d’investissement qu’à celles courantes.
En effet, souligne la DPEE, les dépenses d’investissement, évaluées à 903,7 milliards, se sont accrues de 18,4% (+140,5 milliards), sous l’effet, principalement, des investissements sur ressources intérieures (557,2 milliards) qui ont progressé de 34,3%. Pour leur part, les investissements sur ressources extérieures sont estimés à 346,5 milliards, se contractant de 1,9 milliard (-0,5%) en glissement annuel.
S’agissant des dépenses courantes (1241 milliards), elles se sont raffermies de 20,6% en liaison avec le relèvement des charges de fonctionnement, des transferts et subventions, et des intérêts versés au titre de la dette publique.
Ces derniers sont estimés à 140,4 milliards, progressant de 12,7%, du fait, notamment, des charges d’intérêts sur la dette extérieure (+18,6%). Les traitements et salaires, quant à eux, sont évalués à 472,4 milliards à fin octobre 2016 contre 446,5 milliards un an auparavant, soit une progression de 5,8%.
Pathé TOURE lejecos
S’agissant des dépenses et prêts nets, la progression observée (+19%) est imputable aussi bien aux dépenses d’investissement qu’à celles courantes.
En effet, souligne la DPEE, les dépenses d’investissement, évaluées à 903,7 milliards, se sont accrues de 18,4% (+140,5 milliards), sous l’effet, principalement, des investissements sur ressources intérieures (557,2 milliards) qui ont progressé de 34,3%. Pour leur part, les investissements sur ressources extérieures sont estimés à 346,5 milliards, se contractant de 1,9 milliard (-0,5%) en glissement annuel.
S’agissant des dépenses courantes (1241 milliards), elles se sont raffermies de 20,6% en liaison avec le relèvement des charges de fonctionnement, des transferts et subventions, et des intérêts versés au titre de la dette publique.
Ces derniers sont estimés à 140,4 milliards, progressant de 12,7%, du fait, notamment, des charges d’intérêts sur la dette extérieure (+18,6%). Les traitements et salaires, quant à eux, sont évalués à 472,4 milliards à fin octobre 2016 contre 446,5 milliards un an auparavant, soit une progression de 5,8%.
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