« Nous avions lancé en 2022 un nouvel appel à candidatures. Nous avons jusque-là recueilli une centaine de candidatures qui n’ont toujours pas été produits, car nous n’avons pas de moyens financiers pour le faire. La première fois, c’est l’Institut français de Dakar qui avait mis les moyens nécessaires pour produire les projets », a-t-il dit.
S’entretenant avec l’APS, le président de cette structure culturelle installée à Thilogne, dans le département de Matam, a soutenu que lors du premier appel à candidatures, la FACC avait reçu 80 projets culturels initiés par des jeunes venus de toute la région. Après audition, dix jeunes avaient été choisis et ont été par la suite produits. Ils avaient par la suite bénéficié d’une production audiovisuelle, selon lui.
« Après avoir produit l’artiste, nous lui trouvons des prestations scéniques pour lui permettre de se Il signale que depuis la création de la Fabrique artistique culturelle et citoyenne de Matam, la structure fonctionne avec les moyens du bord « pour financer certains projets ».
S’entretenant avec l’APS, le président de cette structure culturelle installée à Thilogne, dans le département de Matam, a soutenu que lors du premier appel à candidatures, la FACC avait reçu 80 projets culturels initiés par des jeunes venus de toute la région. Après audition, dix jeunes avaient été choisis et ont été par la suite produits. Ils avaient par la suite bénéficié d’une production audiovisuelle, selon lui.
« Après avoir produit l’artiste, nous lui trouvons des prestations scéniques pour lui permettre de se Il signale que depuis la création de la Fabrique artistique culturelle et citoyenne de Matam, la structure fonctionne avec les moyens du bord « pour financer certains projets ».