Sans en donner l'air, les autorités sanitaires sénégalaises prennent très au sérieux la menace Zika dont la propagation ne ralentit pas dans le monde depuis son apparition en 2015 au Brésil, en Amérique latine, rapporte Walf Quotidien. Avec sa survenance récemment au Cap Vert, Zika est désormais à vol d'oiseau des côtes sénégalaises.
Certes, le gouvernement, à travers son ministre en charge de la Santé, n'a pas encore communiqué sur cette maladie causée par le moustique connu sous le nom de Aedes aegypti, mais le journal indique que des mises au point ont été faites par les services compétents dudit ministère à travers son Conseil national de gestion des épidémies qui s'est réuni lundi dernier. Selon ces sources, pour l'instant, le Sénégal est en alerte et veille pour que Zika ne soit pas un problème de santé dans le pays.
C'est ainsi que, dans le cadre de la prévention, de l'alerte et de veille, la Direction de la prévention a élaboré une fiche technique comportant des informations nécessaires sur la maladie et diffusées auprès des structures de santé pour que, dans la consultation, on intègre le Zika afin que d'éventuels cas n’échappent à la vigilance du personnel médical. Mieux, notent-ils, la Direction de la prévention étant en charge de faire de la surveillance dans tous les arbovirus dont Zika, et par le biais d'une étroite collaboration avec le ministère de la Santé, une unité de l'Institut Pasteur de Dakar (Ipd) est détachée à Kédougou pour surveiller, dans les districts les maladies à potentiel épidémique.
D'après toujours les informations, le choix de Kédougou se justifie par la position géographique de cette région sur le globe terrestre, c'est-à -dire en zone tropicale où l'épidémie est susceptible de faire son apparition. Cette région se caractérise par sa vulnérabilité, étant la porte ouverte par laquelle passent et restent beaucoup de nationalités.
Certes, le gouvernement, à travers son ministre en charge de la Santé, n'a pas encore communiqué sur cette maladie causée par le moustique connu sous le nom de Aedes aegypti, mais le journal indique que des mises au point ont été faites par les services compétents dudit ministère à travers son Conseil national de gestion des épidémies qui s'est réuni lundi dernier. Selon ces sources, pour l'instant, le Sénégal est en alerte et veille pour que Zika ne soit pas un problème de santé dans le pays.
C'est ainsi que, dans le cadre de la prévention, de l'alerte et de veille, la Direction de la prévention a élaboré une fiche technique comportant des informations nécessaires sur la maladie et diffusées auprès des structures de santé pour que, dans la consultation, on intègre le Zika afin que d'éventuels cas n’échappent à la vigilance du personnel médical. Mieux, notent-ils, la Direction de la prévention étant en charge de faire de la surveillance dans tous les arbovirus dont Zika, et par le biais d'une étroite collaboration avec le ministère de la Santé, une unité de l'Institut Pasteur de Dakar (Ipd) est détachée à Kédougou pour surveiller, dans les districts les maladies à potentiel épidémique.
D'après toujours les informations, le choix de Kédougou se justifie par la position géographique de cette région sur le globe terrestre, c'est-à -dire en zone tropicale où l'épidémie est susceptible de faire son apparition. Cette région se caractérise par sa vulnérabilité, étant la porte ouverte par laquelle passent et restent beaucoup de nationalités.