Les mis en cause, qui défilent toujours devant les flics enquêteurs, devraient être présentés, ce lundi matin, d'après Grand Place, devant le procureur de la République pour supposées pratiques de médecine. Ils évoluent dans le groupe « Afrique Santé » qui se trouve être, dit-on, un centre de référence en Afrique dans le traitement et des recherches en médecine naturelle.
L’arrestation des supposés agents de santé intervient dans la journée du jeudi 12 novembre, vers 12 heures, alors que ces derniers se trouvaient dans les locaux de la commune de Malika pour des séances de consultation médicale moyennant la somme de 750 francs au profit de la population. Mais, pour des raisons que l'on ignore, quelqu’un a alerté les flics de la commune de Malika qui ont débarqué sur les lieux et cueilli l’équipe « d’Afrique Santé » dont 08 filles et un garçon.
Soupçonnant un réseau, renseignent les sources du journal, les policiers ouvrent une enquête, intensifient leurs recherches et appréhendent les deux principaux cerveaux du groupe, notamment un dénommé Joseph. Ils les auditionnent sur procès-verbal et les placent en garde à vue dans la chambre de sûreté de la police. Mais, selon toujours les informateurs, les mis en cause s’activent dans le pays depuis 2012. Ils ont sillonné plusieurs quartiers de la banlieue dakaroise pour des séances de consultation à 750 francs et ont prescrit aux patients des ordonnances dont les médicaments sont à vendre exclusivement dans leur propre pharmacie. Ils effectuent également un diagnostic rapide et efficace suivi d’un bilan général de santé en 15 minutes par appareil de dernière génération dénommée « l’analyseur quantique de résonance magnétique ».
Cependant, informe-t-on, le groupe « Afrique Santé » n’évolue que dans le traitement et les recherches en médecine naturelle. Ils n’utilisent, en effet, que des médicaments faits à base de racines et autres plantes. Ils ont été toutefois expulsés le samedi 07 novembre dernier, pour des motifs que l'on ignore encore, à Fass Mbao par la police de la commune où ils se trouvaient avec leur équipe sanitaire pour effectuer des séances de consultation médicale à la population, pendant une durée d’une semaine.
L’arrestation des supposés agents de santé intervient dans la journée du jeudi 12 novembre, vers 12 heures, alors que ces derniers se trouvaient dans les locaux de la commune de Malika pour des séances de consultation médicale moyennant la somme de 750 francs au profit de la population. Mais, pour des raisons que l'on ignore, quelqu’un a alerté les flics de la commune de Malika qui ont débarqué sur les lieux et cueilli l’équipe « d’Afrique Santé » dont 08 filles et un garçon.
Soupçonnant un réseau, renseignent les sources du journal, les policiers ouvrent une enquête, intensifient leurs recherches et appréhendent les deux principaux cerveaux du groupe, notamment un dénommé Joseph. Ils les auditionnent sur procès-verbal et les placent en garde à vue dans la chambre de sûreté de la police. Mais, selon toujours les informateurs, les mis en cause s’activent dans le pays depuis 2012. Ils ont sillonné plusieurs quartiers de la banlieue dakaroise pour des séances de consultation à 750 francs et ont prescrit aux patients des ordonnances dont les médicaments sont à vendre exclusivement dans leur propre pharmacie. Ils effectuent également un diagnostic rapide et efficace suivi d’un bilan général de santé en 15 minutes par appareil de dernière génération dénommée « l’analyseur quantique de résonance magnétique ».
Cependant, informe-t-on, le groupe « Afrique Santé » n’évolue que dans le traitement et les recherches en médecine naturelle. Ils n’utilisent, en effet, que des médicaments faits à base de racines et autres plantes. Ils ont été toutefois expulsés le samedi 07 novembre dernier, pour des motifs que l'on ignore encore, à Fass Mbao par la police de la commune où ils se trouvaient avec leur équipe sanitaire pour effectuer des séances de consultation médicale à la population, pendant une durée d’une semaine.