Après l'affaire Binta Sarr dans laquelle des sources de Kéwoulo avaient attiré l’attention de nos enquêteurs sur un harcèlement basé sur le genre, le sort réservé à Khadidja Sow (cadre), le cas Ahmath Sow (cadre), c’est le prochain licenciement programmé de Raphaël Nzalé, agent de maîtrise, pour “insubordination”, qui a mis la poudre au feu. Et menacé de perturber pendant longtemps le fonctionnement de l’autoroute à péage. Alors qu’ils s’étaient toujours contentés de marteler leur désaccord dans le silence, les délégués syndicaux du personnel de la SECAA-EOS ont décidé de hausser le ton.
Cette fois-ci, ce n’est plus une affaire qui va rester à l’interne. Comme en témoignent ces images exclusives obtenues par Kéwoulo, ils ont décidé de porter des brassards rouges pour les journée du mardi 20 et mercredi 21 avril 2021. Aussi, ces travailleurs entrés dans un mouvement d’humeur, ont fait savoir qu’ils feront parvenir aux journalistes un communiqué de presse dans lequel ils dénoncent “la politique de la Direction générale qui néglige les doléances majeures des travailleurs et s’adonne à des actes d’intimidation et d’abus de pouvoir”.
A l’origine de ce mouvement d’humeur qui risque de perturber le fonctionnement de l’autoroute à péage, se trouvent de nombreux sujets qui mettent en péril la quiétude et le bien-être des employés de Eiffage. Mais aussi menacent gravement la garantie et la pérennisation de leurs emplois; menacés qu’ils sont de perdre à tout moment leur travail. Si ce n’est du harcèlement permanent basé sur le genre, c’est le manque de respect voire le mépris des cadres français envers les travailleurs sénégalais qu’ils prennent de haut, qui irritent les employés du péage.
kewoulo.com
Cette fois-ci, ce n’est plus une affaire qui va rester à l’interne. Comme en témoignent ces images exclusives obtenues par Kéwoulo, ils ont décidé de porter des brassards rouges pour les journée du mardi 20 et mercredi 21 avril 2021. Aussi, ces travailleurs entrés dans un mouvement d’humeur, ont fait savoir qu’ils feront parvenir aux journalistes un communiqué de presse dans lequel ils dénoncent “la politique de la Direction générale qui néglige les doléances majeures des travailleurs et s’adonne à des actes d’intimidation et d’abus de pouvoir”.
A l’origine de ce mouvement d’humeur qui risque de perturber le fonctionnement de l’autoroute à péage, se trouvent de nombreux sujets qui mettent en péril la quiétude et le bien-être des employés de Eiffage. Mais aussi menacent gravement la garantie et la pérennisation de leurs emplois; menacés qu’ils sont de perdre à tout moment leur travail. Si ce n’est du harcèlement permanent basé sur le genre, c’est le manque de respect voire le mépris des cadres français envers les travailleurs sénégalais qu’ils prennent de haut, qui irritent les employés du péage.
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