Mais la n’est pas l’effarant dans cette affaire du financement du monument de la Renaissance. Le comble, «il n’a été trouvé aucune trace, dans les comptes de l’Etat, du financement de l’ouvrage. C’est parce que celui-ci a été pris en charge par un particulier pour 20 milliards de francs Cfa, en contrepartie de l’attribution, en pleine propriété, de terrains domaniaux d’une superficie de 56 ha 03 a 56 ca».
…Réalise un gain de 7 milliards par rapport au financement et il lui reste 36 ha
S’agissant maintenant du montage financier, «c’est le protocole signé avec le partenaire de l’Etat qui a déterminé le coût initial du projet soit 12 milliards de francs Cfa qui sera porté à 20 milliards de francs Cfa, compte tenu des travaux supplémentaires de 8 milliards de francs Cfa». Pour matérialiser cette transaction, indiquent les vérificateurs, «un acte constatant une ‘dation en paiement’ a été signé». Mais, soulignent-ils, «la société civile immobilière, partie à la transaction a, par la suite, procédé à la vente, à l’Institut de prévoyance retraite du Sénégal (Ipres) et à la Caisse de sécurité sociale (Css), c’est- à dire des démembrements de l’Etat, de deux parcelles de terrains d’une superficie de 184 353 mètres carrés et de 14 310 mètres carrés, à respectivement 27,652 milliards de francs Cfa et 2,432 milliards de frabcs Cfa. Elle a, donc, réalisé un gain de 7,652 milliards de francs Cfa, compte non tenu des 36 hectares restants». Ce qui fait conclure l’Ige que «dans cette transaction, il apparaît de toute évidence que les intérêts de l’Etat n’ont pas été sauvegardés».
…Réalise un gain de 7 milliards par rapport au financement et il lui reste 36 ha
S’agissant maintenant du montage financier, «c’est le protocole signé avec le partenaire de l’Etat qui a déterminé le coût initial du projet soit 12 milliards de francs Cfa qui sera porté à 20 milliards de francs Cfa, compte tenu des travaux supplémentaires de 8 milliards de francs Cfa». Pour matérialiser cette transaction, indiquent les vérificateurs, «un acte constatant une ‘dation en paiement’ a été signé». Mais, soulignent-ils, «la société civile immobilière, partie à la transaction a, par la suite, procédé à la vente, à l’Institut de prévoyance retraite du Sénégal (Ipres) et à la Caisse de sécurité sociale (Css), c’est- à dire des démembrements de l’Etat, de deux parcelles de terrains d’une superficie de 184 353 mètres carrés et de 14 310 mètres carrés, à respectivement 27,652 milliards de francs Cfa et 2,432 milliards de frabcs Cfa. Elle a, donc, réalisé un gain de 7,652 milliards de francs Cfa, compte non tenu des 36 hectares restants». Ce qui fait conclure l’Ige que «dans cette transaction, il apparaît de toute évidence que les intérêts de l’Etat n’ont pas été sauvegardés».