«Les producteurs de Podor perdent annuellement 5 milliards de francs, soit un taux de 30% des produits de leurs récoltes», indique le document présenté au cours d’un atelier de partage et de validation sur le thème : «Les pertes post récoltes et les besoins en infrastructures de conservation et de stockage des produits halieutiques du département de Podor».
L’Agence de presse sénégalaise précise que la présentation de l’étude, présidée par l’adjoint au préfet de Podor, a plusieurs partenaires techniques et financiers, dont la Saed, l’Ancar, l’Usaid, le Marché d’intérêt national et des responsables de filières agricoles, pastorales et halieutiques.
L’étude, réalisée par l’Ipar, a été commanditée par la commune de Fanaye, après constat de nombreuses complaintes des producteurs. Coordonnateur de l’Ipar à Podor et dans la zone de la vallée du fleuve Sénégal, Aboubacry Diallo souligne que ces pertes sont occasionnées par de nombreuses contraintes enregistrées depuis le démarrage de la campagne, à savoir le financement, le manque d’équipement et de matériel de récolte et de conservation.
. Le coordonnateur de l’Institut prospective agricole et rurale constate, par ailleurs, que les magasins de stockage et de conservation ne sont pas adaptés, notamment pour des produits maraîchers comme l’oignon. Les récoltes dans les parcelles de riz se font de façon manuelle ; ce qui occasionne beaucoup de perte de graines
La quasi-totalité des cultures est touchée
Dans une note de cadrage lue par Tribune, l’Ipar précise que l’étude a été réalisée dans le cadre du programme d’appui à la mise en place d’un Ecosystème de Facilitation des Investissements privés et des activités économique (Efi Podor), avec l’appui de Feed the Future Sénégal Projet d’Appui aux Réformes et aux Politiques Agricoles (Pss) financé par le Gouvernement américain à travers l’Usaid. Il ressort que la quasi-totalité des cultures est touchée (riz, oignon, tomate, gombo, banane, patate douce, lait, poissons, etc.).
L’Ipar souligne que face à cette situation, les producteurs du département de Podor ont fortement recommandé à l’État et au secteur privé, lors de la deuxième édition de la Revue Conjointe du Développement Local (Rcdl), d’investir davantage dans les infrastructures de stockage et de conservation, afin d’améliorer la sécurité alimentaire, d’augmenter les revenus des acteurs et surtout d’éviter le bradage des produits qui arrivent, au même moment, sur le marché local.
L’Agence de presse sénégalaise précise que la présentation de l’étude, présidée par l’adjoint au préfet de Podor, a plusieurs partenaires techniques et financiers, dont la Saed, l’Ancar, l’Usaid, le Marché d’intérêt national et des responsables de filières agricoles, pastorales et halieutiques.
L’étude, réalisée par l’Ipar, a été commanditée par la commune de Fanaye, après constat de nombreuses complaintes des producteurs. Coordonnateur de l’Ipar à Podor et dans la zone de la vallée du fleuve Sénégal, Aboubacry Diallo souligne que ces pertes sont occasionnées par de nombreuses contraintes enregistrées depuis le démarrage de la campagne, à savoir le financement, le manque d’équipement et de matériel de récolte et de conservation.
. Le coordonnateur de l’Institut prospective agricole et rurale constate, par ailleurs, que les magasins de stockage et de conservation ne sont pas adaptés, notamment pour des produits maraîchers comme l’oignon. Les récoltes dans les parcelles de riz se font de façon manuelle ; ce qui occasionne beaucoup de perte de graines
La quasi-totalité des cultures est touchée
Dans une note de cadrage lue par Tribune, l’Ipar précise que l’étude a été réalisée dans le cadre du programme d’appui à la mise en place d’un Ecosystème de Facilitation des Investissements privés et des activités économique (Efi Podor), avec l’appui de Feed the Future Sénégal Projet d’Appui aux Réformes et aux Politiques Agricoles (Pss) financé par le Gouvernement américain à travers l’Usaid. Il ressort que la quasi-totalité des cultures est touchée (riz, oignon, tomate, gombo, banane, patate douce, lait, poissons, etc.).
L’Ipar souligne que face à cette situation, les producteurs du département de Podor ont fortement recommandé à l’État et au secteur privé, lors de la deuxième édition de la Revue Conjointe du Développement Local (Rcdl), d’investir davantage dans les infrastructures de stockage et de conservation, afin d’améliorer la sécurité alimentaire, d’augmenter les revenus des acteurs et surtout d’éviter le bradage des produits qui arrivent, au même moment, sur le marché local.