Dans les rues de Gondar, plusieurs pickups lancent en boucle un appel à la mobilisation. Un appel qui va du don du sang à toute contribution utile pour les forces gouvernementales.
Awoke Mamo s’investit personnellement dans l’effort de guerre. « Je soutiens complètement nos forces armées. J’utilise ma propre voiture pour trasnporter de la nourriture et de l’eau que j’amène près de la ligne de front. Sur le retour je ramène les blessés. C’est ma contribution. »
L’accent est mis sur la collecte de nourriture, effectuée par le chef de l’administration de Gondar-Sud, Awoke Zemene, qui s’apprête à envoyer un nouveau camion d’approvisionnement.
« Dans ce camion, il y a des céréales, du sucre, de l’huile, des biscuits, tout ce qu’on peut trouver pour soutenir nos forces. Chacun contient 35 000 euros de marchandises recueillies auprès des communautés. »
Les hommes sont nombreux à vouloir s’enrôler. Zemene Tsegay fait partie des candidats. « Oui, je veux y aller. Mais on doit bien s’organiser pour cela. Je veux combattre le TPLF qui a commis des crimes horribles contre les Amharas. Je veux y aller même si je ne sais pas combattre, je serai toujours utile. »
Alors que certains souhaitent partir pour le front, des soldats en reviennent déjà et peuvent être aperçus dans les rues de la ville
Awoke Mamo s’investit personnellement dans l’effort de guerre. « Je soutiens complètement nos forces armées. J’utilise ma propre voiture pour trasnporter de la nourriture et de l’eau que j’amène près de la ligne de front. Sur le retour je ramène les blessés. C’est ma contribution. »
L’accent est mis sur la collecte de nourriture, effectuée par le chef de l’administration de Gondar-Sud, Awoke Zemene, qui s’apprête à envoyer un nouveau camion d’approvisionnement.
« Dans ce camion, il y a des céréales, du sucre, de l’huile, des biscuits, tout ce qu’on peut trouver pour soutenir nos forces. Chacun contient 35 000 euros de marchandises recueillies auprès des communautés. »
Les hommes sont nombreux à vouloir s’enrôler. Zemene Tsegay fait partie des candidats. « Oui, je veux y aller. Mais on doit bien s’organiser pour cela. Je veux combattre le TPLF qui a commis des crimes horribles contre les Amharas. Je veux y aller même si je ne sais pas combattre, je serai toujours utile. »
Alors que certains souhaitent partir pour le front, des soldats en reviennent déjà et peuvent être aperçus dans les rues de la ville