Après le double-attentat du vendredi 2 mars, qui a fait 16 morts et 79 blessés, Ouagadougou est sous haute surveillance.
De nouveaux tirs ont été entendus ce matin à 8 heures, non loin de l’état-major des armées. Si, pour cette-ci, il est question de tirs de sommation, par contre, dans la nuit du samedi au dimanche, aux environs de 02h du matin, il y a eu des échanges de tirs entre la Garde présidentielle (GSPR) et des assaillants.
Deux d’entre ces derniers se sont enfuis, alors qu’un troisième a été capturé avant d’être finalement abattu, suite à une tentative d’évasion. Dans les deux cas : les forces de sécurité s’opposent à ce qu’on force les barrages déployés pour protéger les endroits stratégiques de la capitale burkinabé.
De nouveaux tirs ont été entendus ce matin à 8 heures, non loin de l’état-major des armées. Si, pour cette-ci, il est question de tirs de sommation, par contre, dans la nuit du samedi au dimanche, aux environs de 02h du matin, il y a eu des échanges de tirs entre la Garde présidentielle (GSPR) et des assaillants.
Deux d’entre ces derniers se sont enfuis, alors qu’un troisième a été capturé avant d’être finalement abattu, suite à une tentative d’évasion. Dans les deux cas : les forces de sécurité s’opposent à ce qu’on force les barrages déployés pour protéger les endroits stratégiques de la capitale burkinabé.