La Conférence des ordres des architectes de l’espace Uemoa s’est ouverte hier. Cette rencontre a regroupé les présidents des huit ordres qui composent l’Union économique et monétaire Ouest africaine (Uemoa). Ils ont tenu à rappeler les règles qui puissent régir cette liberté de circulation. L’architecte pour qu’il puisse circuler librement dans l’espace Uemoa doit être en règle avec son ordre d’origine. Il a le devoir de se rapprocher de l’ordre du pays pour être inscrit dans le registre d’accueil. C’est une inscription temporaire qui va lui permettre d’exercer. Cet architecte doit également être en ordre avec l’Ordre des architectes du pays d’accueil.
Le Président de l’ordre des architectes du Sénégal, Fodé Diop a signalé : « La pratique de notre profession voit ses frontières, aujourd’hui, ouvrir avec la libre circulation des personnes dans l’espace ». Ce genre de rencontre, poursuit-il, «permet d’harmoniser et d’humaniser la pratique de la profession d’architecte dans l’espace». « En harmonisant la pratique, il y aura certainement des problèmes d’éthiques qu’il faudra d’abord mettre en place pour que le langage soit le même avec les règles de déontologie des autres pays. Nous sommes également obligés d’harmoniser la pratique professionnelle dans l’espace », a également rappelé le président de l’Ordre des architectes du Sénégal. Les architectes ont également insisté sur le problème lié à la commande publique et l’harmonisation des barèmes. « Si nous avons des dysfonctionnements et des méthodes de sélection différentes dans les différents pays, la concurrence peut ne pas être saine », déplore Diop. Qui par la même occasion trouve qu’il s’agit là d’un aspect très important pour harmoniser les pratiques et les modes de sélection dans les pays.
Le Président de l’ordre des architectes du Sénégal, Fodé Diop a signalé : « La pratique de notre profession voit ses frontières, aujourd’hui, ouvrir avec la libre circulation des personnes dans l’espace ». Ce genre de rencontre, poursuit-il, «permet d’harmoniser et d’humaniser la pratique de la profession d’architecte dans l’espace». « En harmonisant la pratique, il y aura certainement des problèmes d’éthiques qu’il faudra d’abord mettre en place pour que le langage soit le même avec les règles de déontologie des autres pays. Nous sommes également obligés d’harmoniser la pratique professionnelle dans l’espace », a également rappelé le président de l’Ordre des architectes du Sénégal. Les architectes ont également insisté sur le problème lié à la commande publique et l’harmonisation des barèmes. « Si nous avons des dysfonctionnements et des méthodes de sélection différentes dans les différents pays, la concurrence peut ne pas être saine », déplore Diop. Qui par la même occasion trouve qu’il s’agit là d’un aspect très important pour harmoniser les pratiques et les modes de sélection dans les pays.