A. Sow et son mari B. Diop se sont unis pour le meilleur et pour le pire au cours du mois de février dernier. Mais pour ce jeune couple d’étudiants, la fin justifie les moyens. Parce qu’ils veulent s’enrichir sans le moindre effort, en passant par les nouvelles techniques d’arnaque sentimentale.
C’est ainsi que le mari va créer un faux compte facebook du nom de Aicha Libanaise Sow pour ferrer ses proies. Une fois cette étape dépassée, c’est sa femme qui entre en jeu par le biais d’une conversation téléphonique sur le numéro de son époux, pour soutirer de l’argent à leurs victimes.
C’est sur ces entrefaites, que le couple va gruger la partie civile de ses 350.000 francs effectués en trois remises via Wari, toujours sur le numéro de l’époux. Mais, à chaque fois c’est sa femme qui se présentait sur le point de transfert d’argent pour retirer les sommes d’argent avec sa pièce d’identité.
Dès que la partie civile a fixé un rendez-vous avec son interlocutrice qu’il avait l’habitude d’entendre au bout du fil, B. Diop va utiliser une autre fille du nom de M. Joe Cissé pour se faire remettre la somme de 100 mille francs. Là, la partie civile qui a déjà mordu à leur hameçon, va saisir Dame justice.
Après avoir reconnu les faits devant les enquêteurs, B. Diop a essayé aujourd’hui, de laver à grande eau sa douce moitié. Selon lui, cette dernière n’a rien à voir dans cette affaire, c’est lui seul qui est au début et à la fin de tout. Comme, il a eu à le faire avec M. Joe Cissé.
Interrogé par le juge sur l’identité de la fille qui parlait avec la partie civile au téléphone, B. Diop avance qu’il ne saurait répondre à cette question.
Lui emboîtant le pas, A. Sow soutient : « Je ne connais pas la partie civile. Et, je ne l’ai jamais contactée, ni par appel, ni par message. Je n’ai qu’un seul compte Facebook, et c’est Aicha Sow. Et, le numéro mentionné dans le procès-verbal, ne m’appartient pas ».
Dans son réquisitoire, la représentante du Ministère public a requis deux ans d’emprisonnement, dont six mois ferme contre les prévenus.
La défense quant à elle, a plaidé la relaxe pour A. Sow. Avant de demander une application bienveillante de la loi pour son mari. « C’est un délinquant primaire. Parce qu’il il n’a jamais eu maille à partir avec la justice. Et il s’est amendé », défend la robe noire.
Délibéré fixé au 28 novembre.
C’est ainsi que le mari va créer un faux compte facebook du nom de Aicha Libanaise Sow pour ferrer ses proies. Une fois cette étape dépassée, c’est sa femme qui entre en jeu par le biais d’une conversation téléphonique sur le numéro de son époux, pour soutirer de l’argent à leurs victimes.
C’est sur ces entrefaites, que le couple va gruger la partie civile de ses 350.000 francs effectués en trois remises via Wari, toujours sur le numéro de l’époux. Mais, à chaque fois c’est sa femme qui se présentait sur le point de transfert d’argent pour retirer les sommes d’argent avec sa pièce d’identité.
Dès que la partie civile a fixé un rendez-vous avec son interlocutrice qu’il avait l’habitude d’entendre au bout du fil, B. Diop va utiliser une autre fille du nom de M. Joe Cissé pour se faire remettre la somme de 100 mille francs. Là, la partie civile qui a déjà mordu à leur hameçon, va saisir Dame justice.
Après avoir reconnu les faits devant les enquêteurs, B. Diop a essayé aujourd’hui, de laver à grande eau sa douce moitié. Selon lui, cette dernière n’a rien à voir dans cette affaire, c’est lui seul qui est au début et à la fin de tout. Comme, il a eu à le faire avec M. Joe Cissé.
Interrogé par le juge sur l’identité de la fille qui parlait avec la partie civile au téléphone, B. Diop avance qu’il ne saurait répondre à cette question.
Lui emboîtant le pas, A. Sow soutient : « Je ne connais pas la partie civile. Et, je ne l’ai jamais contactée, ni par appel, ni par message. Je n’ai qu’un seul compte Facebook, et c’est Aicha Sow. Et, le numéro mentionné dans le procès-verbal, ne m’appartient pas ».
Dans son réquisitoire, la représentante du Ministère public a requis deux ans d’emprisonnement, dont six mois ferme contre les prévenus.
La défense quant à elle, a plaidé la relaxe pour A. Sow. Avant de demander une application bienveillante de la loi pour son mari. « C’est un délinquant primaire. Parce qu’il il n’a jamais eu maille à partir avec la justice. Et il s’est amendé », défend la robe noire.
Délibéré fixé au 28 novembre.