Souffrant atrocement de maux de ventre, la dame Seynabou Fall s’en ouvre à une de ses amies qui lui recommande le charlatan. Elle n’hésite pas à le consulter se fondant sur les paroles de son amie qui le décrit comme un tradipraticien de renom.
Le charlatan lui demande une somme de 100 000 FCFA pour les soins. Ils s’entendent sur une somme de 70 000. Diégane lui administre alors sur le corps une potion. Mais ce n’est pas tout. Le quidam lui fait des attouchements considérant que cela fait partie du traitement.
Il ajoute que pour que le remède soit efficace, elle doit obligatoirement avoir un rapport sexuel en se portant comme candidat. Importunée, la cliente se sauve pour échapper à la furie du charlatan. Suite à sa plainte, une gendarme se présente comme une cliente pour alpaguer Diégane Faye. Ce dernier lui soumet le même traitement. Il l’enduit du gel en se permettant de lui enlever le soutien-gorge.
Pour le Procureur, les faits d’escroquerie, de charlatanisme et d’attentat à la pudeur sont constants et récurrents. Il a requis une peine de deux ans ferme. « Tout ce qui m’anime c’est que mes clients soient satisfaits de mes services. Ma cliente a elle-même reconnu qu’après mon traitement elle se sentait bien », a déclaré le prévenu. L’affaire a été mise en délibéré.
emedia
Le charlatan lui demande une somme de 100 000 FCFA pour les soins. Ils s’entendent sur une somme de 70 000. Diégane lui administre alors sur le corps une potion. Mais ce n’est pas tout. Le quidam lui fait des attouchements considérant que cela fait partie du traitement.
Il ajoute que pour que le remède soit efficace, elle doit obligatoirement avoir un rapport sexuel en se portant comme candidat. Importunée, la cliente se sauve pour échapper à la furie du charlatan. Suite à sa plainte, une gendarme se présente comme une cliente pour alpaguer Diégane Faye. Ce dernier lui soumet le même traitement. Il l’enduit du gel en se permettant de lui enlever le soutien-gorge.
Pour le Procureur, les faits d’escroquerie, de charlatanisme et d’attentat à la pudeur sont constants et récurrents. Il a requis une peine de deux ans ferme. « Tout ce qui m’anime c’est que mes clients soient satisfaits de mes services. Ma cliente a elle-même reconnu qu’après mon traitement elle se sentait bien », a déclaré le prévenu. L’affaire a été mise en délibéré.
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