Pour certains, tous les moyens sont bons pour s’enrichir sur le dos des autres. C’est le cas de Cheikh Thiam, businessman très connu à Touba et ses environs. Ce dernier fait partie de cette catégorie de personnes. Marié à deux épouses et père de six enfants et très élégant sur les bords, Cheikh Thiam alias «Thiam noble» est dans de beaux draps. Sa victime n’est autre que son ami et voisin de quartier, le chauffeur de taxi Abdou Diop.
En effet, souligne L'As, il lui a dérobé la somme de 469.900 FCfa. Pour réussir son coup, Thiam Noble a trouvé le moyen d’avoir les quatre chiffres du mot de passe du compte Wawe d’Abdou Diop, sans que ce dernier ne se doute de rien. Et lorsqu’il a eu accès au compte qui était crédité de 469.900 FCfa, Thiam Noble l’a vidé. Abdou Diop n’a découvert le pot aux roses que quand il a voulu payer l’essence. Lorsqu’il a consulté son compte, le chauffeur a vu s’afficher zéro franc. Sur le champ, il a contacté le service client de «Wave», qui l’a informé du retrait de la somme de 469.900 FCfa. Mieux, on lui a même indiqué le point de retrait situé au sous-quartier Keur Serigne Mbaye Ndiaye de Touba. Muni de toutes les informations utiles à sa requête, Abdou Diop a saisi d’une plainte les hommes du Commissariat spécial de Gouye Mbinde. Après les réquisitions faites auprès de «Wave», les enquêteurs n’ont las tardé pas à identifier et localiser Thiam Noble grâce à une géolocalisation.
Interpellé chez lui et devant sa famille, Thiam Noble n’a pas opposé la moindre résistance aux forces de l’ordre. Menotté illico presto, il a été jeté dans le papier à salades en direction du commissariat, où il lui a été notifié sa garde-à-vue, après qu’il a fait des aveux circonstanciés. Il a confié aux limiers qu’il a agi de la sorte pour répondre au défi qu’Abdou Diop avait lancé à tout le groupe, que personne ne pouvait pirater son compte Wave. Questionné sur l’argent, il explique en avoir déjà dépensé la quasi-totalité, en se payant une montre, un smartphone et une moto Jakarta flambant neuve. Des arguments que les enquêteurs ont jugés fallacieux.
Déféré vendredi dernier devant le procureur près le Tribunal de Grande Instance de Diourbel, le mis en cause a fait son mea culpa et présenté ses plates excuses. N’empêche, il a été placé sous mandat de dépôt le même jour à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Diourbel, où il va devoir attendre que soit fixé son procès, lors duquel il devra répondre des charges d’accès et maintien frauduleux dans un système informatique et escroquerie.
En effet, souligne L'As, il lui a dérobé la somme de 469.900 FCfa. Pour réussir son coup, Thiam Noble a trouvé le moyen d’avoir les quatre chiffres du mot de passe du compte Wawe d’Abdou Diop, sans que ce dernier ne se doute de rien. Et lorsqu’il a eu accès au compte qui était crédité de 469.900 FCfa, Thiam Noble l’a vidé. Abdou Diop n’a découvert le pot aux roses que quand il a voulu payer l’essence. Lorsqu’il a consulté son compte, le chauffeur a vu s’afficher zéro franc. Sur le champ, il a contacté le service client de «Wave», qui l’a informé du retrait de la somme de 469.900 FCfa. Mieux, on lui a même indiqué le point de retrait situé au sous-quartier Keur Serigne Mbaye Ndiaye de Touba. Muni de toutes les informations utiles à sa requête, Abdou Diop a saisi d’une plainte les hommes du Commissariat spécial de Gouye Mbinde. Après les réquisitions faites auprès de «Wave», les enquêteurs n’ont las tardé pas à identifier et localiser Thiam Noble grâce à une géolocalisation.
Interpellé chez lui et devant sa famille, Thiam Noble n’a pas opposé la moindre résistance aux forces de l’ordre. Menotté illico presto, il a été jeté dans le papier à salades en direction du commissariat, où il lui a été notifié sa garde-à-vue, après qu’il a fait des aveux circonstanciés. Il a confié aux limiers qu’il a agi de la sorte pour répondre au défi qu’Abdou Diop avait lancé à tout le groupe, que personne ne pouvait pirater son compte Wave. Questionné sur l’argent, il explique en avoir déjà dépensé la quasi-totalité, en se payant une montre, un smartphone et une moto Jakarta flambant neuve. Des arguments que les enquêteurs ont jugés fallacieux.
Déféré vendredi dernier devant le procureur près le Tribunal de Grande Instance de Diourbel, le mis en cause a fait son mea culpa et présenté ses plates excuses. N’empêche, il a été placé sous mandat de dépôt le même jour à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Diourbel, où il va devoir attendre que soit fixé son procès, lors duquel il devra répondre des charges d’accès et maintien frauduleux dans un système informatique et escroquerie.