Dans la foulée, c’est le ministre des transports terrestres et du désenclavement, Mansour Faye lui-même qui a défendu le projet de loi devant les députés. Et le Pr Chérif Baldé par ailleurs responsable politique de Médina Yoro Foula (Kolda) soutient qu’avec ce changement le pays va se doter d’infrastructures de qualité et durables.
À l’en croire, « le Sénégal a fait le pari d’un développement accéléré qui passe nécessairement par le développement de ses infrastructures de manière générale. Mais surtout, nous aurons des ouvrages de qualité, durables et accessibles aux populations, notamment dans le secteur du BTP. Sous ce rapport, le projet d’érection du CEREEQ en laboratoire national revêt une importance stratégique indiscutable, car il ouvre des perspectives tant au plan national que sous régional. »
Dans la foulée, il précise : « au plan national, on note une floraison de bureaux d'études et de structures de prestations de service en BTP avec des méthodes et des procédés de travail perfectibles. C'est donc à ce titre, que le contrôle du respect des normes de sécurité, de qualité et de pérennité des ouvrages prend toute son importance. » C’est pourquoi, il souligne : « il est dès lors apparu nécessaire de mettre en place un nouveau cadre juridique permettant d’assurer, au nom de l’État, le contrôle et la régulation des activités des laboratoires, et des cabinets d’études de sol par un laboratoire national de référence. »
Dans cette dynamique, il poursuit : « l’ambition de l’État du Sénégal est de voir émerger, rapidement, des ouvrages de type nouveau c’est-à -dire réalisés dans les règles de l’art, dans les meilleures conditions de coût et de délais. À ce titre, nous pourrons disposer d’infrastructures aptes à résister dans la durée à toutes les contraintes d’exploitation constituant le socle du développement économique et social du Sénégal… »
La réorientation des objectifs « découle de plusieurs constats, notamment le niveau de qualité des réalisations et des chantiers qui est loin d’être satisfaisant, la mauvaise qualité des matériaux, le secteur du BTP en pleine crise avec une multitude de jeunes acteurs non-expérimentés et parfois non-qualifiés, entre autres. »
Cependant, il rappelle que « les défis et les enjeux de la régulation du secteur du BTP imposent à l’État de se doter d’un laboratoire national de référence dans le secteur des BTP (LNR-BTP) qui lui permet d’assurer un contrôle efficient et une régulation performante des activités des laboratoires et des cabinets d’études de sol. » Dans cette lancée, il ajoute : « le présent projet de loi introduit donc des innovations majeures. D’ailleurs, le décret d’application est d’ores et déjà élaboré pour permettre une mise en œuvre efficace des dispositions de la loi. »
dakaractu.com
À l’en croire, « le Sénégal a fait le pari d’un développement accéléré qui passe nécessairement par le développement de ses infrastructures de manière générale. Mais surtout, nous aurons des ouvrages de qualité, durables et accessibles aux populations, notamment dans le secteur du BTP. Sous ce rapport, le projet d’érection du CEREEQ en laboratoire national revêt une importance stratégique indiscutable, car il ouvre des perspectives tant au plan national que sous régional. »
Dans la foulée, il précise : « au plan national, on note une floraison de bureaux d'études et de structures de prestations de service en BTP avec des méthodes et des procédés de travail perfectibles. C'est donc à ce titre, que le contrôle du respect des normes de sécurité, de qualité et de pérennité des ouvrages prend toute son importance. » C’est pourquoi, il souligne : « il est dès lors apparu nécessaire de mettre en place un nouveau cadre juridique permettant d’assurer, au nom de l’État, le contrôle et la régulation des activités des laboratoires, et des cabinets d’études de sol par un laboratoire national de référence. »
Dans cette dynamique, il poursuit : « l’ambition de l’État du Sénégal est de voir émerger, rapidement, des ouvrages de type nouveau c’est-à -dire réalisés dans les règles de l’art, dans les meilleures conditions de coût et de délais. À ce titre, nous pourrons disposer d’infrastructures aptes à résister dans la durée à toutes les contraintes d’exploitation constituant le socle du développement économique et social du Sénégal… »
La réorientation des objectifs « découle de plusieurs constats, notamment le niveau de qualité des réalisations et des chantiers qui est loin d’être satisfaisant, la mauvaise qualité des matériaux, le secteur du BTP en pleine crise avec une multitude de jeunes acteurs non-expérimentés et parfois non-qualifiés, entre autres. »
Cependant, il rappelle que « les défis et les enjeux de la régulation du secteur du BTP imposent à l’État de se doter d’un laboratoire national de référence dans le secteur des BTP (LNR-BTP) qui lui permet d’assurer un contrôle efficient et une régulation performante des activités des laboratoires et des cabinets d’études de sol. » Dans cette lancée, il ajoute : « le présent projet de loi introduit donc des innovations majeures. D’ailleurs, le décret d’application est d’ores et déjà élaboré pour permettre une mise en œuvre efficace des dispositions de la loi. »
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