Le changement climatique est une question de portée hautement scientifique et de développement, car il oriente notre futur et le devenir de l’humanité toute entière. "Il représente un enjeu énorme parce qu’influe sur les migrations des populations. Et dans plusieurs domaines de développement notamment les ressources en eaux potables, la sécurité alimentaire, la santé de notre population et du bétail, la biodiversité terrestre", a soutenu le premier ministre Mouhamed Boun Abdalah Dionne venu présider la cérémonie d’ouverture. "Comme l’homme, le climat ne change pas, mais il s’adapte" fait-il remarquer. Pour le chef du gouvernement sénégalais, il est donc utile de se poser la question de savoir si son adaptation ne serait pas préjudiciable sur les règlements que nous créons nous même. Ainsi, dira-t-il, les conseils économiques et sociaux ont lancé un pari d’avenir qui a un coût aujourd’hui, mais celui-ci est d’un bien moindre comparé à l’amélioration du bien être humain de l’équité sociale aux bénéfices environnementaux et à la raréfaction des ressources et, fonction des conséquences économiques du changement climatique. Car l’objectif du développement durable est de jouir pleinement es ressources de la terre tout en ayant soin de préserver ce capital pour des générations futures".
Mohammed Dionne a aussi indiqué que l’exploitation intensive des ressources de la planète et la pollution engendrée par l’activité humaine ont favorisé la multiplication des crises et des catastrophes naturelles, corollaires des changements climatiques actuels.
"Alertés par les scientifiques, les dirigeants du monde sont désormais conscients de la nécessité pour les pays de revoir leur approche du développement afin de garantir pérennité de l’écosystème", a rappelé pour sa part Mme Aminata Tall.
Selon toujours le Premier ministre "les pays du Sud ont une capacité financière très limitée pour aller vers les choix d’amoindrir les gaz à effet de serre qui nécessitent des financements importantes parmi lesquels les financements perdures".
Ainsi, a-t-il invité les pays du Sud à être prêt pour organiser les réceptacles de ces financements et leurs accès directs. D’ailleurs, il félicite le centre de suivi écologique pour son leadership en matière d’acquisition des financements en Afrique : Nous avons reçu récemment les accréditations du Fond d’adaptation et du Fond vert climat".
Par ailleurs, il faut signaler qu'à la fin des travaux, une déclaration sera faite pour préparer la 21ème Conférence des Parties (Cop 21) à la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, qui se tiendra à Paris au mois de décembre 2015, constitue dans ces conditions un enjeu considérable qui va mener à la signature d’un accord international contraignant sur le Climat qui permettra de contenir le réchauffement global en deçà de 2°C.
Fara Mendy
Mohammed Dionne a aussi indiqué que l’exploitation intensive des ressources de la planète et la pollution engendrée par l’activité humaine ont favorisé la multiplication des crises et des catastrophes naturelles, corollaires des changements climatiques actuels.
"Alertés par les scientifiques, les dirigeants du monde sont désormais conscients de la nécessité pour les pays de revoir leur approche du développement afin de garantir pérennité de l’écosystème", a rappelé pour sa part Mme Aminata Tall.
Selon toujours le Premier ministre "les pays du Sud ont une capacité financière très limitée pour aller vers les choix d’amoindrir les gaz à effet de serre qui nécessitent des financements importantes parmi lesquels les financements perdures".
Ainsi, a-t-il invité les pays du Sud à être prêt pour organiser les réceptacles de ces financements et leurs accès directs. D’ailleurs, il félicite le centre de suivi écologique pour son leadership en matière d’acquisition des financements en Afrique : Nous avons reçu récemment les accréditations du Fond d’adaptation et du Fond vert climat".
Par ailleurs, il faut signaler qu'à la fin des travaux, une déclaration sera faite pour préparer la 21ème Conférence des Parties (Cop 21) à la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, qui se tiendra à Paris au mois de décembre 2015, constitue dans ces conditions un enjeu considérable qui va mener à la signature d’un accord international contraignant sur le Climat qui permettra de contenir le réchauffement global en deçà de 2°C.
Fara Mendy