‘’Quand on connaît le conflit de la Casamance et les enjeux de stabilisation pour l’instauration d’une paix durable dans la zone, il est important de former des ressources humaines de qualité qui vont s’atteler à cette mission’’, a déclaré mercredi son recteur, Courfia Kéba Diawara.
Il présidait un atelier de partage d’expériences sur l’intégration et l’enseignement du Droit international humanitaire à l’université de Ziguinchor. Organisée en partenariat avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), cette rencontre a réuni plusieurs professeurs et différents spécialistes en vue de mettre à disposition les outils pédagogiques sur l’enseignement du DIH.
Elle a pour objectif de permettre un échange entre professeurs d’université en charge de la mise en place de modules d’enseignement sur le DIH à l’Université Assane Seck de Ziguinchor et de renforcer les connaissances de base en DIH du corps professoral.
‘’Le CICR nous offre cet important accompagnement qui nous permettra, en tant qu’université, de jouer notre mission de service à la communauté. Nous allons sous peu mettre à la disposition de la société civile, au niveau local comme au niveau international, des ressources humaines pour conduire les projets de règlement de conflit (…)’’, a assuré Courfia Kéba Diawara.
Il a promis que l’université Assane Seck produira des ‘’professionnels de l’humanitaire qui vont contribuer à l’amélioration des initiatives d’insertion des personnes déplacées et des réfugiés en Casamance et partout où ils seront appelés dans le monde’’.
Ce master, qui est ouvert aux personnes titulaires d’une licence en droit, en sciences économiques et en sociologie, ou toute autre discipline jugée pertinente par le comité de sélection des candidats, permettra à l’université Assane Seck de ‘’nouer des partenariats avec d’autres universités internationales pour une bonne formation des experts en droit international humanitaire’’.
‘’Les universités ont un rôle social à jouer, surtout dans la formation des leaders de demain. Nous constatons de plus en plus une tendance à la professionnalisation de l’action humanitaire avec la formation d’étudiants qui vont, au-delà du droit, mais des praticiens de l’action humanitaire’’, s’est réjouie Marie Louise Tougas, conseillère juridique régionale du CICR basé à Abidjan (Côte d’Ivoire).
Source : APS (agence de presse sénégalaise)
Il présidait un atelier de partage d’expériences sur l’intégration et l’enseignement du Droit international humanitaire à l’université de Ziguinchor. Organisée en partenariat avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), cette rencontre a réuni plusieurs professeurs et différents spécialistes en vue de mettre à disposition les outils pédagogiques sur l’enseignement du DIH.
Elle a pour objectif de permettre un échange entre professeurs d’université en charge de la mise en place de modules d’enseignement sur le DIH à l’Université Assane Seck de Ziguinchor et de renforcer les connaissances de base en DIH du corps professoral.
‘’Le CICR nous offre cet important accompagnement qui nous permettra, en tant qu’université, de jouer notre mission de service à la communauté. Nous allons sous peu mettre à la disposition de la société civile, au niveau local comme au niveau international, des ressources humaines pour conduire les projets de règlement de conflit (…)’’, a assuré Courfia Kéba Diawara.
Il a promis que l’université Assane Seck produira des ‘’professionnels de l’humanitaire qui vont contribuer à l’amélioration des initiatives d’insertion des personnes déplacées et des réfugiés en Casamance et partout où ils seront appelés dans le monde’’.
Ce master, qui est ouvert aux personnes titulaires d’une licence en droit, en sciences économiques et en sociologie, ou toute autre discipline jugée pertinente par le comité de sélection des candidats, permettra à l’université Assane Seck de ‘’nouer des partenariats avec d’autres universités internationales pour une bonne formation des experts en droit international humanitaire’’.
‘’Les universités ont un rôle social à jouer, surtout dans la formation des leaders de demain. Nous constatons de plus en plus une tendance à la professionnalisation de l’action humanitaire avec la formation d’étudiants qui vont, au-delà du droit, mais des praticiens de l’action humanitaire’’, s’est réjouie Marie Louise Tougas, conseillère juridique régionale du CICR basé à Abidjan (Côte d’Ivoire).
Source : APS (agence de presse sénégalaise)