Nouvel rebondissement dans l’affaire Aida Mbacké, du nom de cette dame qui avait brûle vif son mari Khadim Sylla, aux Maristes, il y a trois semaines. Mise aux arrêts le vendredi 23 novembre par les éléments de la Section de recherches de la gendarmerie, la pyromane a été libérée le même jour.
Selon plusieurs sources, son interpellation a été retardée par le diagnostic de troubles mentaux avancés par son médecin traitant. D’ailleurs, ses sources ont avancé que son nouveau-né, une fille, lui a été retirée et confiée a sa grand-mère.
Sauf que des sources judiciaires proches du dossier ont écarté cette thèse de « troubles mentaux avancés par son médecin traitant ». « Aïda Mbacké était bien portante. Car, elle a répondu aux questions de façon claire et intelligible. Elle a apporté des réponses nettes et claires sans aucune pression », a précisé la source.
Alors pourquoi le parquet a remis en liberté la pyromane ? D’après nos informations, cette dernière souffre de graves brûlures aux mains, au dos et au niveau des jambes. Et il ressort des éléments de l’enquête, que les brûlures aux mains étaient tellement profondes que la jeune dame ne pouvait pas soulever ses bras.
Autant de faits qui ont poussé le Procureur à ne pas prendre le risque de l’incarcérer dans une prison, par peur que ses blessures ne s’infectent dans un milieu carcéral où les conditions ne sont pas des meilleures. C’est donc pour éviter une complication de sa situation médicale, elle qui a subi une césarienne lors de son accouchement et une éventuelle atteinte à sa vie, qu’Aïda Mbacké a été finalement remise entre les mains de ses parents, vendredi dernier, après son audition. Le parquet a donc estimé qu’il fallait l’élargir de prison, le temps qu’elle se soigne et qu’elle soit en mesure d’être jugée.
L’Observateur
Selon plusieurs sources, son interpellation a été retardée par le diagnostic de troubles mentaux avancés par son médecin traitant. D’ailleurs, ses sources ont avancé que son nouveau-né, une fille, lui a été retirée et confiée a sa grand-mère.
Sauf que des sources judiciaires proches du dossier ont écarté cette thèse de « troubles mentaux avancés par son médecin traitant ». « Aïda Mbacké était bien portante. Car, elle a répondu aux questions de façon claire et intelligible. Elle a apporté des réponses nettes et claires sans aucune pression », a précisé la source.
Alors pourquoi le parquet a remis en liberté la pyromane ? D’après nos informations, cette dernière souffre de graves brûlures aux mains, au dos et au niveau des jambes. Et il ressort des éléments de l’enquête, que les brûlures aux mains étaient tellement profondes que la jeune dame ne pouvait pas soulever ses bras.
Autant de faits qui ont poussé le Procureur à ne pas prendre le risque de l’incarcérer dans une prison, par peur que ses blessures ne s’infectent dans un milieu carcéral où les conditions ne sont pas des meilleures. C’est donc pour éviter une complication de sa situation médicale, elle qui a subi une césarienne lors de son accouchement et une éventuelle atteinte à sa vie, qu’Aïda Mbacké a été finalement remise entre les mains de ses parents, vendredi dernier, après son audition. Le parquet a donc estimé qu’il fallait l’élargir de prison, le temps qu’elle se soigne et qu’elle soit en mesure d’être jugée.
L’Observateur