L’enquête ouverte sur l’assassinat des 14 exploitants forestiers à Boffa-Bayottes avance à grands pas. Les enquêteurs de la Section de recherches ont établi des liens directs entre certaines des personnes interpellées et les membres du commando activement recherchés, informe Libération.
Au total, 22 personnes dont une femme ont été interpellées dimanche dernier par les éléments du Groupe d’intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN, élite), dans les villags e de Toubacouta et Bukuyum (Ziguinchor, sud), non loin de Boffa-Bayottes où a eu lieu la tuerie du 6 janvier dernier.
Selon le journal, les gendarmes ont même une petite idée du mobile de acte odieux et les membres du commando sont même « identifiés et traqués ».
Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique qui procédait hier, à la présentation des vœux au personnel de son département, a assuré que l’Etat va s’investir par tous les moyens pour arrêter les malfaiteurs. « Les auteurs sont traqués mais l’Etat va poursuivre les discussions pour que la paix revienne en Casamance. C’est d’ailleurs notre rôle », a précisément fait savoir Aly Ngouille Ndiaye.
Au total, 22 personnes dont une femme ont été interpellées dimanche dernier par les éléments du Groupe d’intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN, élite), dans les villags e de Toubacouta et Bukuyum (Ziguinchor, sud), non loin de Boffa-Bayottes où a eu lieu la tuerie du 6 janvier dernier.
Selon le journal, les gendarmes ont même une petite idée du mobile de acte odieux et les membres du commando sont même « identifiés et traqués ».
Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique qui procédait hier, à la présentation des vœux au personnel de son département, a assuré que l’Etat va s’investir par tous les moyens pour arrêter les malfaiteurs. « Les auteurs sont traqués mais l’Etat va poursuivre les discussions pour que la paix revienne en Casamance. C’est d’ailleurs notre rôle », a précisément fait savoir Aly Ngouille Ndiaye.