« Entre la chronique des intrigues de couloir et des jeux de pouvoir au sein de la Sncf ou des divergences exagérées entre contractants, l’auteur s’éloigne de son sujet avant d’y revenir en ces termes : « contractuellement, le déficit de Seter est à la charge de l’Etat sénégalais », a écrit Fofana.
Seulement, selon la voix du gouvernement, il ne précise pas qu’il s’agit là d’un service public dont l’objectif n’est pas la rentabilité.
« En effet, l’Etat du Sénégal a fait le choix d’un tarif quasi social pour une infrastructure de mobilité à très fort taux de fréquentation. Le taux de régularité est ainsi supérieur à 98% et l’objectif d’un train toutes les dix minutes est atteint », rétorque le ministre du Commerce.
Emedia
Seulement, selon la voix du gouvernement, il ne précise pas qu’il s’agit là d’un service public dont l’objectif n’est pas la rentabilité.
« En effet, l’Etat du Sénégal a fait le choix d’un tarif quasi social pour une infrastructure de mobilité à très fort taux de fréquentation. Le taux de régularité est ainsi supérieur à 98% et l’objectif d’un train toutes les dix minutes est atteint », rétorque le ministre du Commerce.
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