Les affaires ne s’arrangent pas pour Claude Le Roy. Ses démêlés avec la justice française ont pris une nouvelle tournure. Le parquet du Tribunal correctionnel de Strasbourg a en effet requis contre lui une peine de deux ans de prison, dont dix-huit mois avec sursis.
Ceci, dans une affaire de transferts de joueurs présumés frauduleux à l’époque où il était manager général du Racing Club de Strasbourg. On vous l’annonçait en début de semaine. Le Roy et 5 autres anciens dirigeants du club français sont dans le collimateur de la justice française. Il s’agit de Patrick Proisy (ancien président du Racing), Nicolas Geiger et Gilbert Sau (agents de joueurs), Peter Griffiths (directeur financier) et Laurence Martinet-Baylocq (ex-responsable du service juridique).
Le sélectionneur du Togo est accusé d’avoir été complice de l’émission de fausses factures qui auraient été émises pour permettre à la branche britannique d’IMG, société à l’époque propriétaire du club, et à divers intermédiaires de toucher des commissions sur les contrats de transfert de joueurs, au détriment des comptes du Racing Club Strasbourg.
Egalement poursuivi dans cette affaire, Patrick Proisy, ancien président du R. C. Strasbourg, risque pour sa part trois ans d’emprisonnement dont trente mois avec sursis.
Ceci, dans une affaire de transferts de joueurs présumés frauduleux à l’époque où il était manager général du Racing Club de Strasbourg. On vous l’annonçait en début de semaine. Le Roy et 5 autres anciens dirigeants du club français sont dans le collimateur de la justice française. Il s’agit de Patrick Proisy (ancien président du Racing), Nicolas Geiger et Gilbert Sau (agents de joueurs), Peter Griffiths (directeur financier) et Laurence Martinet-Baylocq (ex-responsable du service juridique).
Le sélectionneur du Togo est accusé d’avoir été complice de l’émission de fausses factures qui auraient été émises pour permettre à la branche britannique d’IMG, société à l’époque propriétaire du club, et à divers intermédiaires de toucher des commissions sur les contrats de transfert de joueurs, au détriment des comptes du Racing Club Strasbourg.
Egalement poursuivi dans cette affaire, Patrick Proisy, ancien président du R. C. Strasbourg, risque pour sa part trois ans d’emprisonnement dont trente mois avec sursis.