«Un quartier de très haute sécurité, c’est un quartier où rien n’a accès : ni de par le ciel, ni de par la terre. Donc, le détenu, même si on ouvrait sa porte, ne peut pas voir le ciel. Et l’agent qui est chargé de sa surveillance, devrait le faire en vidéo surveillance.
Il ne doit même pas y avoir de contact physique avec le détenu. Si ce n’est pour l’amener à l’hôpital ou aller voir son avocat», confie le journal.
Abdoulaye Bâ, ancien pénitentiaire ayant servi plus de 30 ans, qui a été recruté après sa retraite par les Nations-Unies, a été également interrogé par le journal : «Le quartier ne répond pas aux normes de sécurité pour avoir le nom de haute sécurité. Il devait y avoir des caméras de surveillance. Si la fenêtre existe, elle donne où. Si elle donne dans la rue, ce n’est plus une prison. Le Camp pénal est maintenant ceinturé de bâtiments avec des étages».
Il ne doit même pas y avoir de contact physique avec le détenu. Si ce n’est pour l’amener à l’hôpital ou aller voir son avocat», confie le journal.
Abdoulaye Bâ, ancien pénitentiaire ayant servi plus de 30 ans, qui a été recruté après sa retraite par les Nations-Unies, a été également interrogé par le journal : «Le quartier ne répond pas aux normes de sécurité pour avoir le nom de haute sécurité. Il devait y avoir des caméras de surveillance. Si la fenêtre existe, elle donne où. Si elle donne dans la rue, ce n’est plus une prison. Le Camp pénal est maintenant ceinturé de bâtiments avec des étages».