Cette centrale d’une capacité de 23 MW est le fruit de la coopération sénégalo-allemande à travers la KFW et, est l’une des trois composantes du programme de promotion des énergies renouvelables initié par les deux pays, pour un montant de 34 millions d’euros. L’énergie produite par cette centrale d’un coût de plus de 20 millions d’euros, permet d’alimenter plus de 33 000 ménages et de générer pour l’Etat du Sénégal à travers Senelec, une économie estimée à 1 743 837 888 FCfa par année, par rapport à une centrale thermique à fioul”, renseigne la Senelec dans un communiqué.
La réalisation de cette centrale va également répondre à certaines préoccupations d’ordre environnemental, précise la SENELEC : “Ce projet participe au mix énergétique prôné par l’Etat du Sénégal et contribue à l’augmentation de la part des énergies renouvelables sur le réseau de Senelec et sensiblement, à l’équilibre offre/demande et permet la réduction de l’empreinte carbone avec environ 25 668 tonnes de gaz carbonique évitées. Il concourt à la préservation de l’environnement avec la réduction des émissions des gaz à effet de serre”.
Sur le plan social, la centrale de Diass génère 15 emplois en phase d'exploitation et a permis la création de 350 emplois directs en phase de construction.
Le projet comprend également deux autres composantes : La composante 2 avec la réalisation des centrales hybrides solaire/diesel de Goudiry, Kidira et Médina-Gounass ; la composante 3 avec la réalisation des centrales hybrides (solaire/diesel/batteries) de Dionewar, Bassoul, Bettenty et Djirnda dans l’archipel du Saloum.
La réalisation de cette centrale va également répondre à certaines préoccupations d’ordre environnemental, précise la SENELEC : “Ce projet participe au mix énergétique prôné par l’Etat du Sénégal et contribue à l’augmentation de la part des énergies renouvelables sur le réseau de Senelec et sensiblement, à l’équilibre offre/demande et permet la réduction de l’empreinte carbone avec environ 25 668 tonnes de gaz carbonique évitées. Il concourt à la préservation de l’environnement avec la réduction des émissions des gaz à effet de serre”.
Sur le plan social, la centrale de Diass génère 15 emplois en phase d'exploitation et a permis la création de 350 emplois directs en phase de construction.
Le projet comprend également deux autres composantes : La composante 2 avec la réalisation des centrales hybrides solaire/diesel de Goudiry, Kidira et Médina-Gounass ; la composante 3 avec la réalisation des centrales hybrides (solaire/diesel/batteries) de Dionewar, Bassoul, Bettenty et Djirnda dans l’archipel du Saloum.