Le leader du mouvement citoyen “Jeuf Sa Walleu”, candidat à la Mairie de Biscuiterie, n’est pas au bout de ses peines. Mis en cause suite à une bataille rangée, survenue lors d’une opération de nettoyage et de déguerpissement, Macoumba Diagne ainsi que ses quatre partisans seront édifiés sur leur sort le 20 octobre prochain.
Visé pour complicité de violence et voie fait, M. Diagne, tiré à quatre épingles dans un caftan de couleur verte, a énergiquement contesté les faits. A l’en croire, il avait reçu l’autorisation de l’édile de sa commune, Mouhamed Djibril Wade, lequel avait servi des sommations aux laveurs de véhicules et autres occupants irréguliers. “C’est le Directeur du cabinet du Maire qui a procédé au lancement des activités. L’édile a également mis à notre disposition une partie de son équipe. Nous avons démarré le “Set Settal” à Niarry Tally le 18 septembre. Ensuite, nous nous sommes rendus au garage Guédiawaye des Hlm. C’est au 8e jour qu’il y a eu affrontements”, a conté le prévenu, qui s’est attiré les foudres du juge. “L’activité a été illégalement menée. Vous n’avez l’autorisation de déguerpir qui que ce soit. Vous avez semé le désordre”, s’est offusqué le magistrat.
Poursuivis pour violence et voie de fait, Amadou Abdoulaye Diallo, Michel Mendy, Jean-Louis Diatta et Hervé Mendy ont battu en brèche l’accusation. Le premier nommé a déclaré avoir agi en légitime défense. “J’ai été pris à partie par trois individus qui m’ont injurié et traité d’homosexuel”, regrette-t-il.
L’avocate de la société, pour qui, les faits sont constants, s’est rapportée à la sagesse du tribunal. Les conseils de la défense ont clamé l’innocence de leurs clients, qui ont comparu libres. Me Khadim Kébé a estimé que l’action de Macoumba Diagne a été bénéfique pour les populations environnantes. “Il veut améliorer notre cadre de vie, notre bien-être. Nous avons besoin d’hommes comme lui. C’est l’occasion de le rétablir dans sa dignité et sa considération, en le renvoyant des fins de la poursuite”, a plaidé la robe noire.
Visé pour complicité de violence et voie fait, M. Diagne, tiré à quatre épingles dans un caftan de couleur verte, a énergiquement contesté les faits. A l’en croire, il avait reçu l’autorisation de l’édile de sa commune, Mouhamed Djibril Wade, lequel avait servi des sommations aux laveurs de véhicules et autres occupants irréguliers. “C’est le Directeur du cabinet du Maire qui a procédé au lancement des activités. L’édile a également mis à notre disposition une partie de son équipe. Nous avons démarré le “Set Settal” à Niarry Tally le 18 septembre. Ensuite, nous nous sommes rendus au garage Guédiawaye des Hlm. C’est au 8e jour qu’il y a eu affrontements”, a conté le prévenu, qui s’est attiré les foudres du juge. “L’activité a été illégalement menée. Vous n’avez l’autorisation de déguerpir qui que ce soit. Vous avez semé le désordre”, s’est offusqué le magistrat.
Poursuivis pour violence et voie de fait, Amadou Abdoulaye Diallo, Michel Mendy, Jean-Louis Diatta et Hervé Mendy ont battu en brèche l’accusation. Le premier nommé a déclaré avoir agi en légitime défense. “J’ai été pris à partie par trois individus qui m’ont injurié et traité d’homosexuel”, regrette-t-il.
L’avocate de la société, pour qui, les faits sont constants, s’est rapportée à la sagesse du tribunal. Les conseils de la défense ont clamé l’innocence de leurs clients, qui ont comparu libres. Me Khadim Kébé a estimé que l’action de Macoumba Diagne a été bénéfique pour les populations environnantes. “Il veut améliorer notre cadre de vie, notre bien-être. Nous avons besoin d’hommes comme lui. C’est l’occasion de le rétablir dans sa dignité et sa considération, en le renvoyant des fins de la poursuite”, a plaidé la robe noire.