La Commission économique pour l’Afrique (Cea) tiendra sa cinquante-troisième session et la Conférence des ministres africains des finances, de la planification et du développement économique, du 17 au 23 mars 2021 sous forme hybride (Présentielle et virtuelle). 
Source : https://www.lejecos.com/Elaboration-d-une-strategi...
A travers son communiqué de presse, la Cea informe que la conférence rassemblera des panélistes chevronnés et de haut niveau à la fois de l’intérieur et de l’extérieur de l’Afrique pour des discussions qui promettent d’être passionnantes et engageantes alors que le continent continue de répondre à la crise de Covid-19. En ce sens, confie le document, les résultats et les décisions de la conférence auront des implications importantes pour l’avenir du continent.
Dans la foulée, la Cea note qu’à la lumière de la Covid-19, l’un des panels de haut niveau abordera la gestion de la dette et des financements innovants pour la viabilité budgétaire, et le rôle du secteur privé, tandis qu’un autre examinera si l’Afrique est prête à financer son propre vaccin.
A l’en croire, l’orateur principal de ce panel sera le directeur général de l’Oms, Tedros Adhanom, avec des panélistes, dont la directrice exécutive de l’Onusida, Winnie Biyanyima, le président d’Afreximbank, Benedict Oramah, la conseillère mondiale du groupe biopharmaceutique Pfizer, Susan Silbermann, et le directeur de l’Institut Pasteur, Institut de recherche médicale, au Sénégal, Amadou Sall.
La conférence se tiendra sous le thème « L’industrialisation durable et la diversification de l’Afrique à l’ère du numérique dans le contexte de la Covid-19 ». Selon le communiqué, le thème de cette année englobe la nécessité pour les pays africains d’atteindre une croissance économique rapide grâce à une industrialisation et une diversification respectueuse de l’environnement tout en tirant parti de la numérisation.
Aussi, note-t-il, les discussions sous ce thème exploreront et consolideront les stratégies sur la voie à suivre pour gérer les effets de la pandémie de Covid-19 sur les économies africaines. Plus précisément, le texte indique que le thème reflète les appels à un alignement des stratégies de développement sur les mesures d’atténuation du changement climatique, reconnaissant que l’industrialisation, tout en étant un moteur efficace de croissance pour de nombreux pays développés, a payé un lourd tribut au climat mondial, posant une menace croissante pour les nations africaines.
Bassirou MBAYE
Dans la foulée, la Cea note qu’à la lumière de la Covid-19, l’un des panels de haut niveau abordera la gestion de la dette et des financements innovants pour la viabilité budgétaire, et le rôle du secteur privé, tandis qu’un autre examinera si l’Afrique est prête à financer son propre vaccin.
A l’en croire, l’orateur principal de ce panel sera le directeur général de l’Oms, Tedros Adhanom, avec des panélistes, dont la directrice exécutive de l’Onusida, Winnie Biyanyima, le président d’Afreximbank, Benedict Oramah, la conseillère mondiale du groupe biopharmaceutique Pfizer, Susan Silbermann, et le directeur de l’Institut Pasteur, Institut de recherche médicale, au Sénégal, Amadou Sall.
La conférence se tiendra sous le thème « L’industrialisation durable et la diversification de l’Afrique à l’ère du numérique dans le contexte de la Covid-19 ». Selon le communiqué, le thème de cette année englobe la nécessité pour les pays africains d’atteindre une croissance économique rapide grâce à une industrialisation et une diversification respectueuse de l’environnement tout en tirant parti de la numérisation.
Aussi, note-t-il, les discussions sous ce thème exploreront et consolideront les stratégies sur la voie à suivre pour gérer les effets de la pandémie de Covid-19 sur les économies africaines. Plus précisément, le texte indique que le thème reflète les appels à un alignement des stratégies de développement sur les mesures d’atténuation du changement climatique, reconnaissant que l’industrialisation, tout en étant un moteur efficace de croissance pour de nombreux pays développés, a payé un lourd tribut au climat mondial, posant une menace croissante pour les nations africaines.
Bassirou MBAYE
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