Situation qui a pour conséquence, regrette l’Act, l’appauvrissement de nos concitoyens paysans et de renchérissement des denrées produites localement du fait de leur rareté. Pour la formation politique, cette situation est la conséquence directe «d’une politique agricole négligée par le régime de Macky Sall», mais aussi «les mensonges récurrents sur la production agricole sénégalaise visant à gonfler un taux de croissance national.»
Pour gérer une éventuelle situation de «famine» au cours des prochains mois de soudure, le Conseil national de l’Act appelle le Gouvernement à prendre les mesures d’aide. «Pour ce faire, le Cn réclame que les ressources budgétaires actuellement utilisées pour mettre en campagne illégale le Président de la République dans des tournées à travers le territoire soient consacrées à lutter contre l’insécurité alimentaire et la famine.»
Abdoul Mbaye et ses camarades considèrent «le régime de Macky Sall comme l’unique responsable des contraintes d’ajustement structurel auxquelles le Fond Monétaire International (Fmi) a retenu de soumettre le Sénégal pour maintenir les facilités de financement dont notre pays bénéficie.»
Ce nécessaire ajustement se traduit en particulier par la hausse des tarifs d’électricité et des prix de carburant à la pompe ; la hausse des tarifs d’électricité étant moins motivée par une augmentation des prix de pétrole que par la gestion politicienne de la Senelec.
Pour gérer une éventuelle situation de «famine» au cours des prochains mois de soudure, le Conseil national de l’Act appelle le Gouvernement à prendre les mesures d’aide. «Pour ce faire, le Cn réclame que les ressources budgétaires actuellement utilisées pour mettre en campagne illégale le Président de la République dans des tournées à travers le territoire soient consacrées à lutter contre l’insécurité alimentaire et la famine.»
Abdoul Mbaye et ses camarades considèrent «le régime de Macky Sall comme l’unique responsable des contraintes d’ajustement structurel auxquelles le Fond Monétaire International (Fmi) a retenu de soumettre le Sénégal pour maintenir les facilités de financement dont notre pays bénéficie.»
Ce nécessaire ajustement se traduit en particulier par la hausse des tarifs d’électricité et des prix de carburant à la pompe ; la hausse des tarifs d’électricité étant moins motivée par une augmentation des prix de pétrole que par la gestion politicienne de la Senelec.