C’est une mauvaise nouvelle annoncée par la Banque mondiale en ce début d’année. L’économie à l’échelle internationale connaîtra un ralentissement jusqu’en 2023. « La croissance mondiale devrait ralentir sensiblement, pour s'établir à 4,1 % en 2022 et 3,2 % en 2023, contre 5,5 % en 2021, sous l’effet de l’essoufflement du rattrapage de la demande et du retrait des mesures de soutien budgétaire et monétaire à travers le monde », souligne un communiqué de la banque du 11 janvier 2022.
La banque mondiale estime que le variant omicron, très contagieux, va continuer de perturber l’activité économique. La relance en connaîtra ainsi un coup de frein. « La décélération notable enregistrée dans les grandes économies (dont les États-Unis et la Chine) pèsera sur la demande extérieure dans les économies émergentes et en développement », ajoute la note.
A cela s'ajoutent les problèmes d’approvisionnement, l’inflation, le déficit de marge financière pour les économies en développement. « L’économie mondiale est confrontée aux effets conjugués de la COVID-19, de l’inflation et d’un environnement incertain, dans un contexte où les dépenses publiques et les politiques monétaires entrent en territoire inconnu », souligne le président du Groupe de la Banque mondiale David Malpass.
A la place du repli sur soi et autres mesures nationales, Malpass préconise la solidarité et la concertation à l’échelle internationale. « Pour permettre à un plus grand nombre de pays de se placer sur une trajectoire de croissance favorable, il est indispensable de mener une action concertée au niveau international et de se doter d’un arsenal complet de mesures au niveau national», ajoute-t-il.
La banque mondiale estime que le variant omicron, très contagieux, va continuer de perturber l’activité économique. La relance en connaîtra ainsi un coup de frein. « La décélération notable enregistrée dans les grandes économies (dont les États-Unis et la Chine) pèsera sur la demande extérieure dans les économies émergentes et en développement », ajoute la note.
A cela s'ajoutent les problèmes d’approvisionnement, l’inflation, le déficit de marge financière pour les économies en développement. « L’économie mondiale est confrontée aux effets conjugués de la COVID-19, de l’inflation et d’un environnement incertain, dans un contexte où les dépenses publiques et les politiques monétaires entrent en territoire inconnu », souligne le président du Groupe de la Banque mondiale David Malpass.
A la place du repli sur soi et autres mesures nationales, Malpass préconise la solidarité et la concertation à l’échelle internationale. « Pour permettre à un plus grand nombre de pays de se placer sur une trajectoire de croissance favorable, il est indispensable de mener une action concertée au niveau international et de se doter d’un arsenal complet de mesures au niveau national», ajoute-t-il.