Lors du Forum de Transformation de l'Afrique (ATF) qui vient de se clore à Kigali, Carlos Lopes a défendu l'importance de la transformation structurelle en Afrique en insistant sur le fait qu'il est impératif que le continent s'intéresse davantage sur le potentiel offert par l'industrialisation.
Dans son intervention, il a défini la transformation structurelle comme étant non plus seulement le passage d'une simple réallocation de l'activité économique à travers les trois principaux secteurs (agriculture, industrie et services) qui accompagne le processus moderne de croissance économique mais aussi comme comprenant les enjeux de durabilité et d'inclusion.
«Nous devons examiner l'industrialisation à travers ses multiples facettes. Il ne s'agit pas seulement de produire des marchandises. Il s'agit de porter la production structurelle de la société à la vitesse supérieure», souligne-t-il.
Selon lui, à cause du fait que le secteur agricole africain possède la productivité la plus basse au monde, le seul moyen d'opérer un rattrapage au niveau de la productivité est en la reliant avec l'industrie agro-alimentaire.
Le Forum de Transformation de l'Afrique (ATF) s'est clos avec la formation d'une Coalition pour la Transformation. La réunion était organisée par le Centre Africain pour la Transformation Economique (ACET), qui a débuté ses activités en 2008 en tant que groupe de réflexion et d'action, déterminé à équiper les pays africains avec la connaissance et les outils pour poursuivre la croissance transformatrice.
Dans son intervention, il a défini la transformation structurelle comme étant non plus seulement le passage d'une simple réallocation de l'activité économique à travers les trois principaux secteurs (agriculture, industrie et services) qui accompagne le processus moderne de croissance économique mais aussi comme comprenant les enjeux de durabilité et d'inclusion.
«Nous devons examiner l'industrialisation à travers ses multiples facettes. Il ne s'agit pas seulement de produire des marchandises. Il s'agit de porter la production structurelle de la société à la vitesse supérieure», souligne-t-il.
Selon lui, à cause du fait que le secteur agricole africain possède la productivité la plus basse au monde, le seul moyen d'opérer un rattrapage au niveau de la productivité est en la reliant avec l'industrie agro-alimentaire.
Le Forum de Transformation de l'Afrique (ATF) s'est clos avec la formation d'une Coalition pour la Transformation. La réunion était organisée par le Centre Africain pour la Transformation Economique (ACET), qui a débuté ses activités en 2008 en tant que groupe de réflexion et d'action, déterminé à équiper les pays africains avec la connaissance et les outils pour poursuivre la croissance transformatrice.