Selon un communiqué, ce programme est conforme aux orientations énoncées dans le Plan d’action mondial ainsi que dans le communiqué d’avril du Comité économique et financier international. En effet, il concerne en particulier les activités du FMI de nature à promouvoir les actions à mener sur les plans monétaire, budgétaire et structurel pour raviver la croissance.
«L’économie mondiale et affaiblie par une croissance qui est trop lente depuis trop longtemps», note Christine Lagarde, Directrice générale du FMI, dans une déclaration au Conseil d’administration de l’institution.
Sur fonds d’affaiblissement de la croissance mondiale, le programme de travail vise à aider les pays à mieux doser leurs politiques économiques et à leur donner plus de vigueur.
Ainsi, le FMI continuera d’étudier les conséquences des politiques monétaires non conventionnelles et leurs répercussions sur les autres économies, en particulier les pays émergents, en s’intéressant aussi au domaine connexe de la gestion des flux de capitaux. Au cours de l’année à venir, le FMI examinera comment les États membres ont géré les flux de capitaux ces dernières années, en cherchant à mieux identifier les risques qui en découlent pour la stabilité macroéconomique et financière.
«L’économie mondiale et affaiblie par une croissance qui est trop lente depuis trop longtemps», note Christine Lagarde, Directrice générale du FMI, dans une déclaration au Conseil d’administration de l’institution.
Sur fonds d’affaiblissement de la croissance mondiale, le programme de travail vise à aider les pays à mieux doser leurs politiques économiques et à leur donner plus de vigueur.
Ainsi, le FMI continuera d’étudier les conséquences des politiques monétaires non conventionnelles et leurs répercussions sur les autres économies, en particulier les pays émergents, en s’intéressant aussi au domaine connexe de la gestion des flux de capitaux. Au cours de l’année à venir, le FMI examinera comment les États membres ont géré les flux de capitaux ces dernières années, en cherchant à mieux identifier les risques qui en découlent pour la stabilité macroéconomique et financière.