Dans le nouveau département de Keur Massar, plusieurs rues et routes principales bitumées sont cahoteuses ou presque impraticables. La pression de voitures et autres cars et gros porteurs sur ces chaussées constamment inondées a causé des nid-de-poule, des crevasses, de grands trous couvrant parfois toute la largeur de la route par endroits, surtout au niveau des points bas où stagnent des eaux de pluies plusieurs jours.
Une dégradation qui s’accentue de jour en jour, donnant le tournis aux usagers et autres automobilistes qui procèdent par des contournements et de grands détours pour se frayer des passages. C’est dans cette optique qu'Ibra Gaye tire sur la sonnette d’alarme pour encore interpeller les autorités.
«Nous avions lancé une alerte aux autorités. Elles devraient s’interroger sur les fonds qui étaient destinés à Ageroute et Cetud. Si la situation persiste, nous n’exclurions pas de ne plus desservir Keur Massar», menace-t-il. Le membre de l’Association de financement des professionnels du transport urbain (Aftu) souligne que le problème dans le transport est connu de tous, en particulier les chauffeurs et receveurs des bus tata et les usagers. J’en profite pour les encourager», a-t-il dit.
Ibra Gaye ajoute : «La santé des usagers des mini bus Tata est hypothéquée. Les routes sont dégradées, sans oublier les embouteillages. L’on se demande si l’axe Croisement Keur Massar en allant vers Yeumbeul fait partie de la cartographie du pays. Cet axe est zappé de tous les programmes de l’État. C’est inquiétant. À peine le début de l’hivernage et nous sommes en train d'être confrontés à plus de problèmes que la saison dernière. Ce n’est que le commencement des difficultés auxquelles les chauffeurs des mini bus Tata sont confrontés sur la route».
Ibra Gaye n’a pas cherché loin pour indexer les responsables : «Le problème en est que l’État ne fait rien, le Cetud et Ageroute aussi. L’année dernière, une réunion s’était tenue en présence d’un Babacar Senghor de Ageroute. Au cours de cette rencontre, il nous faut avoir un fonds qui permet d'investir sur les routes dégradées.
Quand le fonds est disponible, c’est à Niarry Barack seulement que j’ai constaté des réfections : la route nationale qu'empruntent les autorités et les deux voies de Keur Massar qui sont praticables. L’État devrait veiller à ce que les Fonds soient utilisés à bon essieu. Si les conditions ne sont pas améliorées, Aftu file vers la faillite et des emplois directs et indirects sont menacés», a-t-il expliqué soulignant : «Cetud et Aftu ne nous servent absolument à rien. Aujourd’hui, Aftu devrait implanter au moins une gare routière dans presque chaque commune», regrette-t-il.
Tribune
Une dégradation qui s’accentue de jour en jour, donnant le tournis aux usagers et autres automobilistes qui procèdent par des contournements et de grands détours pour se frayer des passages. C’est dans cette optique qu'Ibra Gaye tire sur la sonnette d’alarme pour encore interpeller les autorités.
«Nous avions lancé une alerte aux autorités. Elles devraient s’interroger sur les fonds qui étaient destinés à Ageroute et Cetud. Si la situation persiste, nous n’exclurions pas de ne plus desservir Keur Massar», menace-t-il. Le membre de l’Association de financement des professionnels du transport urbain (Aftu) souligne que le problème dans le transport est connu de tous, en particulier les chauffeurs et receveurs des bus tata et les usagers. J’en profite pour les encourager», a-t-il dit.
Ibra Gaye ajoute : «La santé des usagers des mini bus Tata est hypothéquée. Les routes sont dégradées, sans oublier les embouteillages. L’on se demande si l’axe Croisement Keur Massar en allant vers Yeumbeul fait partie de la cartographie du pays. Cet axe est zappé de tous les programmes de l’État. C’est inquiétant. À peine le début de l’hivernage et nous sommes en train d'être confrontés à plus de problèmes que la saison dernière. Ce n’est que le commencement des difficultés auxquelles les chauffeurs des mini bus Tata sont confrontés sur la route».
Ibra Gaye n’a pas cherché loin pour indexer les responsables : «Le problème en est que l’État ne fait rien, le Cetud et Ageroute aussi. L’année dernière, une réunion s’était tenue en présence d’un Babacar Senghor de Ageroute. Au cours de cette rencontre, il nous faut avoir un fonds qui permet d'investir sur les routes dégradées.
Quand le fonds est disponible, c’est à Niarry Barack seulement que j’ai constaté des réfections : la route nationale qu'empruntent les autorités et les deux voies de Keur Massar qui sont praticables. L’État devrait veiller à ce que les Fonds soient utilisés à bon essieu. Si les conditions ne sont pas améliorées, Aftu file vers la faillite et des emplois directs et indirects sont menacés», a-t-il expliqué soulignant : «Cetud et Aftu ne nous servent absolument à rien. Aujourd’hui, Aftu devrait implanter au moins une gare routière dans presque chaque commune», regrette-t-il.
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