La 47ème promotion du Centre de formation des techniciens des Eaux et forets, chasses et parcs nationaux (Cnftefcpn) de Djibélor à Ziguinchor est très remontée contre les autorités du ministère de l'Environnement et du développement durable.
Pour cause, les éléments sortis en décembre 2016, courent toujours après un recrutement dans la Fonction publique. Ils accusent la commission chargée du recrutement des sortants de ce centre, de "favoritisme". Cette commission est composée de membres du ministère de l'Environnement, du représentant de la Direction des Eaux et Forëts, chasses et de la conversation des sols (Defccs), d'un représentant de la Direction des parcs nationaux (Dpn) et parfois, du directeur du Cnftefcpn qui, pour cette fois, n'en a pas fait partie.
Les sortants du Cnftfcpn estiment que la commission a procédé au recrutement d'autres personnes, sur la base de raisons politiciennes. "Elle a préféré recruter des parents, des partisans, des gens qui parfois ne savent même pas écrire (vu qu'il n'y a aucun examen) à la place des techniciens formé et qualifiés. Même le major de la promotion n'a pas été retenu", fustigent ce élèves.
Très en colère, les sortants du Centre de formation des techniciens des Eaux et forets, chasses et parcs nationaux de Djibélor disent en avoir marre de certains qui cherchent à les divertir et à se jouer de leur avenir. "Nous ne l'accepterons pas", clament-ils, mécontents. Ces derniers trouvent les arguments de la commission fallacieux, "c'est-à -dire qu'ils ne sont pas aptes à ce travail". Ils soutiennent que depuis 2016, ils font régulièrement des stages dans différents brigades, postes de contrôle et pépinières du service des Eaux et Forêts. "Nous faisons déjà les emplois pour lesquels la commission estime que nous sommes inaptes", se vantent-ils.
Il faut rappeler que le concours d'entrée au Centre de formation des techniciens des eaux et forets, chasses et parcs nationaux de Djibélor, est ouvert aux titulaires du Bfem. La formation dure 3 ans avec plusieurs formations modulaires alliant théorie et travaux de terrain. Entre autres disciplines enseignées dans cette structure, il y a la législation forestière, la botanique forestière, la production de plantes, l'aménagement durable des forets, l'économie forestière, la faune, l’ichtyologie, la topographie, la protection forestière, la gestion des aires protégées, la chasse.
Le Quotidien
Pour cause, les éléments sortis en décembre 2016, courent toujours après un recrutement dans la Fonction publique. Ils accusent la commission chargée du recrutement des sortants de ce centre, de "favoritisme". Cette commission est composée de membres du ministère de l'Environnement, du représentant de la Direction des Eaux et Forëts, chasses et de la conversation des sols (Defccs), d'un représentant de la Direction des parcs nationaux (Dpn) et parfois, du directeur du Cnftefcpn qui, pour cette fois, n'en a pas fait partie.
Les sortants du Cnftfcpn estiment que la commission a procédé au recrutement d'autres personnes, sur la base de raisons politiciennes. "Elle a préféré recruter des parents, des partisans, des gens qui parfois ne savent même pas écrire (vu qu'il n'y a aucun examen) à la place des techniciens formé et qualifiés. Même le major de la promotion n'a pas été retenu", fustigent ce élèves.
Très en colère, les sortants du Centre de formation des techniciens des Eaux et forets, chasses et parcs nationaux de Djibélor disent en avoir marre de certains qui cherchent à les divertir et à se jouer de leur avenir. "Nous ne l'accepterons pas", clament-ils, mécontents. Ces derniers trouvent les arguments de la commission fallacieux, "c'est-à -dire qu'ils ne sont pas aptes à ce travail". Ils soutiennent que depuis 2016, ils font régulièrement des stages dans différents brigades, postes de contrôle et pépinières du service des Eaux et Forêts. "Nous faisons déjà les emplois pour lesquels la commission estime que nous sommes inaptes", se vantent-ils.
Il faut rappeler que le concours d'entrée au Centre de formation des techniciens des eaux et forets, chasses et parcs nationaux de Djibélor, est ouvert aux titulaires du Bfem. La formation dure 3 ans avec plusieurs formations modulaires alliant théorie et travaux de terrain. Entre autres disciplines enseignées dans cette structure, il y a la législation forestière, la botanique forestière, la production de plantes, l'aménagement durable des forets, l'économie forestière, la faune, l’ichtyologie, la topographie, la protection forestière, la gestion des aires protégées, la chasse.
Le Quotidien