Nous présentons nos sincères condoléances aux parents et familles des récentes et précédentes victimes de tels affrontements. Nous déplorons d’abord ces pertes en vies humaines, ensuite, l’image que l’actualité au Sénégal donne à l’étranger, source de caricatures et de calomnies.
Car le Sénégal, notre patrie commune, a toujours joui d’une haute considération, fruit de plusieurs siècles de combat pour sa liberté. Si le Sénégal est donné en modèle de démocratie sur le continent africain, il faut en féliciter ses fils et filles qui se sont toujours évertués à préserver cette image, en apportant leur contribution au bon fonctionnement de nos institutions.
Aujourd’hui, à écouter et regarder la presse internationale, chacun peut se demander si c’est bien de nous qu’il est question…Quant à ce qui est de la presse nationale et des réseaux sociaux, l’on pourrait appeler chaque fils de ce pays à évaluer le rôle qui est le leur, à se demander ce que le Sénégal gagne à multiplier les tribunes où ses fils s’étripent, se vilipendent, quand ils n’en viennent pas littéralement aux mains.
Notre devise, UN PEUPLE, UN BUT, UNE FOI mérite que nous nous arrêtions, les uns les autres, et que la Raison et l’intérêt de notre pays –notre patriotisme- nous conduisent à une profonde introspection.
Pour ma part, cette « heure de vérité » a sonné, et le choix que j’ai fait est d’accompagner le Président Macky Sall : depuis 2013 : j’ai soutenu le candidat de BBY, Président, et appuyé ses projets dans le Cadre du FONSIS en ma qualité de Présidente du Conseil d’Administration.
Aujourd’hui, à la veille de la campagne pour l’élection de son successeur, et suite à la décision qu’il a annoncée, de reporter ces élections, je me retrouve, comme maints compatriotes, face à deux attitudes :
La première, qui consiste à balayer d’un revers de main tout le bilan de deux mandats, à imputer au Président Macky Sall tous les péchés, à faire de lui la cause de la totalité des maux dont souffrent les Sénégalais : en somme, pour résumer en un seul mot : Macky= le Monstre. Et les démissions de se succéder en cascade…
La seconde attitude quant à elle, fondée sur la confiance en l’homme et la foi dans les idéaux que tout au long de son magistère, le Président Macky Sall a défendus et incarnés, m’amènent, en partisan de longue date, à proclamer haut et fort : « Et s’il n’en reste qu’Un, je serai celui-là ».
Ce faisant, je me revêts de la tunique du Poète Hugo, qui préféra l’exil à la trahison de son idéal républicain. C’est ce SENS DE LA REPUBLIQUE, ce souci du BIEN PUBLIC qui insuffle l’action du Président Macky Sall, Père de la Nation, engagé à assurer à chaque couche sociale le bien-être auquel elle a droit.
L’histoire de notre pays est parsemée de professions de foi de ce genre. Parmi celles-ci, me vient à l’esprit celle du Président Magatte LÔ, face à ceux qui ourdissaient déjà au début des années 60, des complots pour renverser le Président Senghor : « La vie est faite de choix successifs, parfois difficiles parce que déterminants pour l’avenir » (Sénégal : L’Heure du Choix, Prologue, P. 11
Je renouvelle mon affection à Madame la Première Dame Marème SALL et lui rappelle la citation de Fabien Sulliman Granfils « Derrière chaque grand homme se cache une femme, mais pourquoi ne pas dire une grande femme? Après tout si l'homme est grand c'est en partie grâce à elle. La femme doit être là pour épauler son homme et le propulser au sommet pour qu'il soit GRAND ».
Merci Grande Femme.
Maître Nafissatou DIOP CISSE, Militante APR à Kaolack et membre du SEN de l’APR.
Car le Sénégal, notre patrie commune, a toujours joui d’une haute considération, fruit de plusieurs siècles de combat pour sa liberté. Si le Sénégal est donné en modèle de démocratie sur le continent africain, il faut en féliciter ses fils et filles qui se sont toujours évertués à préserver cette image, en apportant leur contribution au bon fonctionnement de nos institutions.
Aujourd’hui, à écouter et regarder la presse internationale, chacun peut se demander si c’est bien de nous qu’il est question…Quant à ce qui est de la presse nationale et des réseaux sociaux, l’on pourrait appeler chaque fils de ce pays à évaluer le rôle qui est le leur, à se demander ce que le Sénégal gagne à multiplier les tribunes où ses fils s’étripent, se vilipendent, quand ils n’en viennent pas littéralement aux mains.
Notre devise, UN PEUPLE, UN BUT, UNE FOI mérite que nous nous arrêtions, les uns les autres, et que la Raison et l’intérêt de notre pays –notre patriotisme- nous conduisent à une profonde introspection.
Pour ma part, cette « heure de vérité » a sonné, et le choix que j’ai fait est d’accompagner le Président Macky Sall : depuis 2013 : j’ai soutenu le candidat de BBY, Président, et appuyé ses projets dans le Cadre du FONSIS en ma qualité de Présidente du Conseil d’Administration.
Aujourd’hui, à la veille de la campagne pour l’élection de son successeur, et suite à la décision qu’il a annoncée, de reporter ces élections, je me retrouve, comme maints compatriotes, face à deux attitudes :
La première, qui consiste à balayer d’un revers de main tout le bilan de deux mandats, à imputer au Président Macky Sall tous les péchés, à faire de lui la cause de la totalité des maux dont souffrent les Sénégalais : en somme, pour résumer en un seul mot : Macky= le Monstre. Et les démissions de se succéder en cascade…
La seconde attitude quant à elle, fondée sur la confiance en l’homme et la foi dans les idéaux que tout au long de son magistère, le Président Macky Sall a défendus et incarnés, m’amènent, en partisan de longue date, à proclamer haut et fort : « Et s’il n’en reste qu’Un, je serai celui-là ».
Ce faisant, je me revêts de la tunique du Poète Hugo, qui préféra l’exil à la trahison de son idéal républicain. C’est ce SENS DE LA REPUBLIQUE, ce souci du BIEN PUBLIC qui insuffle l’action du Président Macky Sall, Père de la Nation, engagé à assurer à chaque couche sociale le bien-être auquel elle a droit.
L’histoire de notre pays est parsemée de professions de foi de ce genre. Parmi celles-ci, me vient à l’esprit celle du Président Magatte LÔ, face à ceux qui ourdissaient déjà au début des années 60, des complots pour renverser le Président Senghor : « La vie est faite de choix successifs, parfois difficiles parce que déterminants pour l’avenir » (Sénégal : L’Heure du Choix, Prologue, P. 11
Je renouvelle mon affection à Madame la Première Dame Marème SALL et lui rappelle la citation de Fabien Sulliman Granfils « Derrière chaque grand homme se cache une femme, mais pourquoi ne pas dire une grande femme? Après tout si l'homme est grand c'est en partie grâce à elle. La femme doit être là pour épauler son homme et le propulser au sommet pour qu'il soit GRAND ».
Merci Grande Femme.
Maître Nafissatou DIOP CISSE, Militante APR à Kaolack et membre du SEN de l’APR.