A l’Ecole nationale des sous-officiers d’active (Ensoa), deux élèves sont décédés en l’intervalle de quatre jours. Le premier a perdu la vie le mercredi dernier, alors que le second, avant-hier samedi. D’après le journal « Les Echos » qui rapporte la nouvelle, les défunts qui appartenaient au corps des Sapeurs-Pompiers, seraient morts à la suite d’un bizutage, survenu la veille.
Le journal souligne qu’une équipe d’enquêteurs de la brigade prévôtale, a été dépêchée sur lieu, afin d’élucider cette affaire. Mais l’armée de son côté, nie une quelconque brimade pour expliquer la mort de ces deux élèves sous-officiers. Selon le porte-parole de la Dirpa, le Colonel Abdou Ndiaye, il s’agit de « morts naturelles ». Mieux, il révèle que le premier qui est décédé avait des problèmes cardiaques et respiratoires avant d’arriver à l’Ensoa.
« Sa famille même le reconnaît », précise-t-il. S’agissant de la présence de la brigade prévôtale, il souligne que c’est la procédure normale. «Dès qu’il y a mort d’homme, l’armée demande une enquête. Il y a les familles et il faut respecter la mémoire des défunts », a-t-il fait savoir.
Le journal souligne qu’une équipe d’enquêteurs de la brigade prévôtale, a été dépêchée sur lieu, afin d’élucider cette affaire. Mais l’armée de son côté, nie une quelconque brimade pour expliquer la mort de ces deux élèves sous-officiers. Selon le porte-parole de la Dirpa, le Colonel Abdou Ndiaye, il s’agit de « morts naturelles ». Mieux, il révèle que le premier qui est décédé avait des problèmes cardiaques et respiratoires avant d’arriver à l’Ensoa.
« Sa famille même le reconnaît », précise-t-il. S’agissant de la présence de la brigade prévôtale, il souligne que c’est la procédure normale. «Dès qu’il y a mort d’homme, l’armée demande une enquête. Il y a les familles et il faut respecter la mémoire des défunts », a-t-il fait savoir.